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24. Les effets de l'hypnose sur la biologie

 

 

L’hypnose nous fait découvrir l’univers de la Psycho-Neuro-Immunologie. Grâce à cet état particulier de la conscience, les chercheurs mettent en évidence l’action de l’esprit sur le corps.
Trente-sept paramètres physiologiques peuvent être influencés en fonction du type de suggestions adressées.

 

Globalement, toutes les suggestions et cognitions négatives vont dans le sens d’une détérioration de la santé.
Aussi, il est utile, en état de conscience modifié, de se concentrer activement sur les pensées positives. Elles nourrissent l’esprit et le corps de joie, de force et de vitalité
.


C’est dans les années 1920, en Allemagne, que débutent ces passionnantes recherches scientifiques.

André Weitzenhoffer, dans son ouvrage intitulé "Hypnose et suggestion", réalise une remarquable synthèse : « Les effets de l'hypnose sur les fonctions involontaires et semi-volontaires de l’organisme. »

Il y relate entre autres, que l'hypnose peut accélérer, (138) ou diminuer les pulsations cardiaques. (139) Ce que l’on a maintes fois constaté dans les différentes pratiques de méditation, yoga, etc.

Les fonctions globales du métabolisme sont susceptibles d'être augmentées, (140) de 6% à 25%, selon les recherches. (141) De la même façon, d'autres chercheurs, ont mis en évidence la possibilité de modifier la température interne, (142) et externe de l'organisme (143) ou encore la consommation d'oxygène. (144)

Ces études montrent que les suggestions d'émotions agréables ou désagréables font varier de façon significative les fonctions involontaires de notre organisme.

Il est notable que les champions du monde d’apnée, ou de nombreuses autres disciplines ont tous une pratique personnelle intense d’une technique basée sur la modification de l’état de conscience.

 

L'activité gastro-intestinale peut également être modifiée. (145) Il est possible d'accroître ou de diminuer les fonctions digestives et de susciter des changements au niveau de la durée de la digestion, du péristaltisme et des spasmes des intestins. (146)

Les contractions utérines ont fait l'objet d'un certain nombre de recherches. Il est possible d'accélérer la phase de travail (147) et de modifier la forme, le rythme et l'intensité des contractions tout en diminuant les sensations de douleur. (148)

Lors de ma formation à l’hypnothérapie, je me souviens d’un enregistrement vidéo impressionnant. Un hypnothérapeute russe avait enseigné à sa femme les bases de ses techniques. Elle a accouché grâce à elles de trois enfants dans les meilleures conditions. La troisième naissance a été filmée.

La future maman était accroupie dans une baignoire transparente à demi remplie d’eau. Elle respirait amplement et profondément. Les contractions suivaient le même rythme. Son visage était paisible et détendu, lisse comme un lac de montagne.

Son rythme respiratoire s’accéléra et son col utérin laissa paraître la tête de l’enfant qu’elle accueillit de ses mains dans l’eau tiède en l’espace de quelques secondes. A peine sorti, il nagea comme une otarie.

Je me rappelle la joie intense qui se lisait dans le sourire de la maman quand elle prit son enfant dans les bras. Elle avait parfaitement réussi à gérer la douleur et à donner la vie dans les meilleures conditions, seule et en quelques secondes.

L’un des artisans de l’hypnose en France au XXe siècle fut Léon Chertok. (149)  Il s’est intéressé à la notion d’accouchement sans douleurs introduite en France par les Drs Lamaze et Veulay. Je me rappelle lui avoir rendu hommage par la pensée après avoir vu cette magnifique naissance.

Comme l’ont constaté de nombreux praticiens, l’hypnose peut contribuer à gérer la douleur mais également régulariser le cycle des règles. (150)

 

Cet état de conscience modifié a également un retentissement important sur les effets vasomoteurs.

Il provoque des changements hormonaux via les glandes de la sudation. (151)

Tout comme il modifie la tension artérielle (152) et entraîne des changements au niveau de la circulation sanguine. (153)

Dans tous les sens du terme, il est préférable de ne pas se faire de mauvais sang. Le sens figuré du processus psychique peut faire advenir le sens propre de la réalité biologique.

 

L'état hypnotique modifie également les sécrétions, excrétions et échanges tissulaires. Il est ainsi possible de faire varier l'élimination de l'eau (154), des phosphates (155), du chlorure de sodium (156), d'augmenter la sécrétion de pepsine, trypsine, lipase, maltase (157) et de majorer l'acidité gastrique (158) ou salivaire. (159)

Un état de conscience particulier peut donc faire varier notre biologie interne. L'expression : "te fais pas de bile", c'est-à-dire, calme-toi, détends-toi, correspond à une réalité biologique.

Ainsi, des suggestions appropriées agissent sur la sécrétion de la bile (160), mais aussi sur la glucosémie (161) et la sécrétion d'insuline par le pancréas. (162)

Le taux de calcium dans le sang s'avère modifiable, (163) au même titre que son Ph et le potentiel de gaz carbonique. (164)

 

Une recherche devenue célèbre montre qu'il est possible d'inhiber certaines réponses du système immunitaire. Avec une suggestion directe, S. Black obtient une inhibition de la réaction au test de Mantoux qui consiste à mesurer la sensibilité à la tuberculine. (165)

Les 16 et 17 novembre 1992, un colloque est organisé à Paris par l'INSERM, sur les mécanismes du processus hypnotique. Bongartz montre que l'hypnose diminue les concentrations plasmatiques d'adrénaline et de noradrénaline, alors que des phénomènes de stress les augmentent. Dans une autre expérience « après hypnose, les granulocytes diminuent et les lymphocytes augmentent tandis que le stress produit le résultat inverse. » (166)

Nous le verrons plus loin, de nombreuses recherches montrent qu'après l'hypnose, les lymphocytes augmentent, alors qu’une réponse inadéquate au stress produit le résultat inverse.

Une passionnante étude est conduite par Jeanne Atchterberg, psychologue au Centre de recherche scientifique sur la santé de l’université de Dallas. Elle propose à deux groupes d’étudiants distincts de visualiser la majoration d’un type de leucocyte spécifique. Le groupe visualisant les neutrophiles en a constaté une augmentation significative.

Chez ceux qui visualisent les basophiles on observe une nette augmentation de cette population plus spécifique. Pour ces deux groupes, les modifications biologiques n’ont concerné que l’objet de leur visualisation. Les autres paramètres immunitaires n’ont pas été modifiés. (167)

Il semble donc possible de stimuler spécifiquement une seule catégorie de cellules immunitaires.

Pour ce chercheur, l’état de santé dépend de l’idée que l’on s’en fait. Dans son livre, « Visualiser pour guérir » (168), elle relate l’expérience de bon nombre de médecins qui renvoient chez eux des malades à l’article de la mort. Ces derniers, rassurés et se croyant guéris, connaissent alors en quelques jours un processus de rémission spontané.

 

Comme il est possible de le constater, l'état de conscience modifié offre la possibilité d'influer sur bon nombre de processus autonomes des fonctions involontaires ou semi-volontaires.

Beaucoup de ces faits ont également été mis en lumière grâce au bio-feedback. Il s’agit d’une discipline née aux États-Unis dans les années 1960. Un appareillage sophistiqué mesure différents paramètres physiologiques : tracé électroencéphalographique, tension, rythme cardiaque, réponse électro-dermale (différence de potentiel électrique mesuré au niveau de la peau), etc.

Le bio-feedback permet à chacun d’apprendre à modifier ces paramètres, donc à agir sur sa physiologie et, par voie de conséquence, sur son processus de santé.

Ce sont essentiellement les suggestions d'émotions et de sentiments qui tendent à provoquer ces modifications biologiques.

De façon générale, plus l'individu est au cœur de son expérience et vit intensément les situations suggérées, plus les résultats s'avèrent effectifs. (169)

A ce titre, il est possible d'émettre l'hypothèse que l'état de conscience modifié majore l'émotion ressentie au même titre que son effet sur la physiologie.


1°) Découvrez vos propres capacités d’agir sur votre corps.
Spontanément ou avec de la pratique vous pouvez réussir à modifier votre température corporelle. Comment ? Rien de plus simple.

Créez en vous un état de relaxation approfondi. Imaginez-vous confortablement installé près d’une rivière dont vous manipulez l’eau avec votre main droite. Ressentez la sensation de cette eau pure et fraîche qui glisse entre vos doigts. Concentrez-vous quelques minutes sur la fraîcheur qui se diffuse dans votre main droite.

Imaginez à présent votre main gauche qui repose sur votre jambe en plein soleil. Ressentez la chaleur pénétrante du soleil dans votre main. Focalisez votre attention sur son action bénéfique, sur l’élévation de la température de votre main gauche.

Vous pouvez de la même façon vous représenter mentalement en train de ressentir ces deux sensations distinctes assis au soleil, près de cette rivière.

Après quelques minutes de concentration, en réunissant vos deux mains, vous aurez la surprise de découvrir une différence de température sensible. Cette différence sera proportionnelle à votre capacité de vous immerger dans cette représentation.

Certains d’entre vous parviendront dès la première séance à un résultat évident. D’autres auront besoin de perfectionner leurs capacités de concentration grâce à l'aide d'un professionnel. Éventuellement d’enregistrer ces séances puis de les écouter à plusieurs reprises. Sa pratique personnelle est déterminante des résultats obtenus.

La différence tient à l’hypnotisabilité de chacun, c’est-à-dire sa capacité de s’absorber dans une expérience de modification de son état de conscience. Parenthèse que nous ouvrirons dans le prochain chapitre.

Quoi qu’il en soit, même si vous obtenez peu de résultat lors de la première séance, avec de la pratique, vous aurez des chances d’observer des modifications appréciables que vous pourrez mesurer grâce à un thermomètre approprié.

 

2°) En cas de dysfonctionnement physiologique clairement identifié, centrez-vous sur le point d’équilibre du paramètre qui pose problème. Jetez sur le papier toutes les stratégies et les représentations mentales favorisant l’état de santé. Expérimentez-les et notez les résultats.


3°) Imaginez, en relaxation approfondie, ce paramètre revenir à une valeur moyenne, bénéfique à l’état de santé.

Développez votre créativité et votre imagination pour vous représenter au mieux le changement auquel vous aspirez en notant, préalablement, tout ce qui vient à votre esprit.

 

 

Ainsi, le couple Simonton enseigna ces techniques aux personnes ayant développé un cancer.

L’une d’elle a imaginé le cancer sous la forme de viande hachée, bien identifiable sur la banquise et qui était dévorée par des chiens de traîneaux affamés représentant les globules blancs. Grâce à ce travail psychologique, ainsi qu’aux traitements médicaux, le cancer a fondu en un temps record.

Pour le même type de symptôme, d’autres utilisent l’image d’un iceberg qui fond au soleil. L’énergie solaire, et particulièrement le bombardement des photons, est alors assimilée à l’action des défenses immunitaires.

D’autres encore se représentent le cancer sous la forme de poussière nettoyée par des globules aspirateurs...

Ce n’est pas la réalité du processus physiologique qui importe, mais plutôt la réalité et la vivacité de vos propres représentations mentales.

L’essentiel étant que l’image des défenses immunitaires ou des ressources de santé soit toujours plus puissante que celle des symptômes.

Envisageons à présent les façons d’améliorer sa qualité de vie quand on est concerné par une maladie.

 

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Sommaire

 

Préface

 

Préambule

 

Information

 

Chapitre 1

 

Chapitre 2

 

Chapitre 3


Chapitre 4

 

Chapitre 5

 

Chapitre 6

 

Chapitre 7

 

Chapitre 8

 

Chapitre 9

 

Chapitre 10

 

Chapitre 11

 

Chapitre 12

 

Chapitre 13

 

Chapitre 14

 

Chapitre 15

 

Chapitre 16

 

Chapitre 17

 

Chapitre 18

 

Chapitre 19

 

Chapitre 20

 

Chapitre 21

 

Chapitre 22

 

Chapitre 23

 

Chapitre 24

 

Chapitre 25

 

Chapitre 26

 

Chapitre 27

 

Chapitre 28

 

Chapitre 29

 

Chapitre 30

 

Chapitre 31

 

Chapitre 32

 

Chapitre 33

 

Chapitre 34

 

Chapitre 35

 

Chapitre 36

 

Chapitre 37

 

Chapitre 38

 

Chapitre 39

 

Chapitre 40

 

Conclusion

 

Annexe 1

 

Annexe 2

 

Biblio 1

 

Biblio 2