21. Histoire de l’hypnose
La modification de l’état de conscience
apparaît être l’axe central de toutes les techniques
de santé. C’est aussi le produit de l’état
d’hynose.
Expérimentez les techniques qui
vous intéressent et surtout mettez-les en pratique.
En Occident, les rémissions se retrouvent également
liées à l'hypnose et aux nombreuses méthodes
qui s'en inspirent comme la relaxation, le training autogène,
la sophrologie, le bio-feed-back, l'autosuggestion, la visualisation,
l'expansion de conscience, etc.
Nous nous intéresserons dans un premier
temps à ce qui a été découvert lors
du siècle des Lumières et a précédé l’hypnose
: le « magnétisme animal ».
Franz Anton Mesmer (1734-1815),
l'un des premiers à avoir fait date dans cette histoire,
naît en Suisse, puis s’établit en Autriche.
Intéressé par la philosophie et la théologie,
il entreprend des études de médecine et obtient
un doctorat à l’âge de 32 ans. Converti à la
physique de Newton, il estime que les êtres vivants sont
sensibles à l'influence des astres et découvre
le pouvoir des aimants sur les troubles physiques.
Leur application sur les organes malades remonte
en réalité à la médecine du Moyen Âge
avec Paracelse. Cette "puissance cachée" de
l'aimant, Mesmer la baptise "magnétisme" et il obtient
avec elle des "guérisons miraculeuses". Sa pratique
franchit les frontières et son lieu de consultation ne
désemplit pas.
Osterwald, un conseiller d'Académie
qui était totalement paralysé et à moitié aveugle,
publie en 1776 le récit de sa guérison : " Tous
les résultats qu'il a obtenus ici dans les différentes
maladies, écrit-il de Mesmer, nous font croire qu'il a
dérobé à la nature une de ses forces les
plus secrètes." (120)
Les centaines de résultats surprenants
qu'il obtient lui valent même la reconnaissance de l'Académie
de l’Électorat de Bavière qui le nomme membre
de sa compagnie "étant certain que les efforts d'un
homme aussi remarquable, dont la gloire est immortalisée
par les preuves extraordinaires et indéniables de ses
connaissances et de ses découvertes aussi inattendues
qu'utiles, contribueront grandement à son éclat." (121)
Cette première reconnaissance officielle
sera cependant aussi la dernière.
En effet, Mesmer se détourne de sa théorie
originelle. Il réalise que la dimension thérapeutique
n'est pas propre à l'aimant mais que tout organisme vivant
distille un magnétisme qu'il qualifie d'animal :
« J'ai observé que la matière
magnétique est presque la même chose que le fluide électrique
et qu'elle se propage de même que celui-ci par des corps
intermédiaires. L'acier n'est pas la seule substance qui
y soit propre ; j'ai rendu magnétique du papier, du pain,
de la laine, de la soie... en un mot tout ce que je touchais,
au point que ces substances produisaient sur les malades les
mêmes effets que les aimants. » (122)
L'effet de ce magnétisme vient pour
Mesmer rétablir la circulation naturelle du fluide dans
l'organe malade et entraîne de ce fait la guérison.
Dans sa remarquable étude publiée
sur ce chercheur, Stephan Zveig, fin psychologue avant d’être écrivain,
constate l’étonnant pouvoir des suggestions thérapeutiques.
Ces suggestions sont pour lui à l’œuvre dans
tout processus de rémission : “ L'histoire
nous prouve qu'il n'y eut point de méthode médicale,
si absurde qu'elle fût, qui ne soulageât quand même
pour un temps les malades qui croyaient en elle. Nos
grands-pères et nos aïeux ont été guéris
par des moyens pour lesquels notre médecine d'aujourd'hui
n'a qu'un sourire de pitié - cette même médecine
dont la science des cinquante années à venir dénoncera
avec le même sourire les méthodes de traitement
actuelles comme inopérantes et même dangereuses. Toujours
où s'accomplit une guérison surprenante, la suggestion
a une part puissante dont on ne se doute pas. Tous les moyens
thérapeutiques de tous les temps (...) doivent une grande
partie de leur efficacité à la volonté de
guérir chez le malade. ” (123)
Cette dimension échappe pourtant à Mesmer
en son temps. Il voit se former dans les milieux médicaux
viennois un certain nombre d'ennemis d'autant plus véhéments
que les incontournables "miracles" de ses séances,
Mesmer les relie non plus à l'aimant mais à son
propre pouvoir de magnétiseur.
Ses détracteurs s'attachent, pour le
discréditer, à son sens aigu de la mise en scène.
Les séances qu'il réalise sont groupales. Les malades
l'attendent dans une lumière tamisée, alors que
dans l'antichambre des musiciens interprètent de douces
musiques relaxantes. Au comble de l'attente, il apparaît
enfin, vêtu d'un habit lilas et commence à effectuer
des passes magnétiques le long du corps de ses patients.
Parfois, ceux-ci éclatent d'un rire nerveux, gémissent
ou pleurent avant d'entrer dans une transe convulsive et se rouler à terre. À leur
réveil, certains sont guéris de leurs troubles.
À propos de cette théâtralisation,
Stephan Zveig estime avec raison qu'“ en bon connaisseur
d'âmes, il sait que tout traitement basé sur la
foi exige, pour renforcer son action, un certain cérémonial
magique ou religieux : par principe psychologique, il entoure
donc sa personne d'une auréole surnaturelle, il augmente
son autorité par le mystère. ” (124)
C'est à cette époque que Mesmer
teste les effets de son fameux baquet, rempli de limaille de
fer et d'éclats de verre, dans lequel plongent plusieurs
tiges métalliques que viennent tenir les malades. Lors
des séances collectives qu'il organise, chacun reçoit
ainsi le "précieux fluide" issu du baquet, que
Mesmer avait eu soin préalablement de magnétiser.
Il est bien évidemment traité d'imposteur par l'Académie
et s'exile alors en Suisse, puis à Paris.
Le siècle des lumières est aussi
celui des chimères et des superstitions qui fleurissent
dans la capitale. Un nombre impressionnant de charlatans divers
y tiennent le haut du pavé. Mesmer quant à lui,
convaincu du bien-fondé de sa théorie, cherchait
davantage à la faire reconnaître officiellement
qu'à en tirer profit.
À cinq reprises, il demande aux facultés
de médecine qu'elles examinent sa pratique et les guérisons
qui en découlent. Ces dernières se détournent
craintivement de cet embarrassant personnage tout en condamnant
a priori son mode de thérapie. Alors Mesmer se tourne
vers le public avec l'ouvrage qu'il publie sur sa découverte
du magnétisme. (125)
De nombreux partisans le soutiennent, la cour
s'y intéresse et défend sa doctrine. Les passions
se déchaînent.
Louis XVI, que ces ardentes discussions finissent
par lasser, désigne deux commissions de savants pour étudier
ces phénomènes. Bailly, Jussieu, Lavoisier et Benjamin
Franklin observent alors la pratique de Deslon, un élève
de Mesmer, et réfutent l'existence d'un fluide magnétique
: "L'imagination sans magnétisme produit des convulsions...
Le magnétisme sans l'imagination ne produit rien." (126)
Comme le constate Léon Chertok, l'un
des grands chercheurs français de l'hypnose : “ Paracelse
(1490-1541), considéré comme un précurseur
de la théorie du magnétisme animal reprise par
Mesmer, admettait déjà le côté "psychologique" ou "relationnel" des
phénomènes "magnétiques". Supprimez
l'imagination et la confiance, avait-il coutume de dire à propos
de ces derniers, et vous n'obtiendrez rien." Et encore : "Que
l'objet de votre croyance soit vrai ou imaginaire, vous obtiendrez
le même résultat." ” (127)
Les académiciens se soucient bien peu
des résultats thérapeutiques qu'ils observent.
Seule l'existence du fluide est l'objet de leur dissertation.
Et comme dans la psyché l'impalpable croyance est toujours
invisible, ils ne s'intéressent pas à ce qui aurait
pu produire et expliquer les rémissions. Toutefois, le
célèbre botaniste Jussieu refuse de signer le verdict “ d'excommunication ”,
estimant possible l'existence d'un “ agent transmissible
par un individu sur un autre et pouvant parfois exercer sur ce
dernier une influence visible.” (128)
Malgré cet appui inespéré,
le rapport secret rédigé par Bailly à la
seule intention du roi donne le coup de grâce à la
théorie de ce médecin trop peu orthodoxe.
Il conclut que : "Le traitement magnétique
ne peut être que dangereux pour les mœurs." (129)
Considérant tout acte rendu comme irrévocable,
l'Académie refuse le nouvel examen que demande Mesmer
sur sa propre pratique. Il retourne alors à Vienne. Ses
ennemis de jadis réussissent l'exploit de le faire condamner
pour ses idées politiques ; il ne fait pas bon défendre
la Révolution française dans la vieille Autriche
impériale... Mesmer est contraint à un nouvel exode
et s'installe dans un canton de Suisse où il poursuit
discrètement ses consultations.
Cynique revers de l'histoire, presque quarante
ans après qu'il a demandé à l'Académie
de Berlin d'examiner les effets de sa thérapie, celle-ci
l'invite à en faire la démonstration. Mesmer, trop
vieux et épuisé par les vaines tentatives d'autrefois
n'a plus que faire de cette reconnaissance à laquelle
il avait aspiré toute sa vie durant. Il décline
l’invitation.
L'Académie délègue alors
auprès de lui un commissaire royal, le professeur Wolfart,
dont la mission est de recueillir toute information utile à l'étude
du magnétisme. Celui-ci rédige un bel hommage à ce
précurseur bafoué : “ Au cours de ma
première rencontre avec l'inventeur du magnétisme,
mes espoirs furent dépassés. Je le trouvai plongé dans
l'activité bienfaisante qu'il me décrivit lui-même.
Vu son grand âge, la clarté, la largeur et la pénétration
de son esprit, son zèle vivant et infatigable à se
communiquer, son éloquence aussi aisée qu'émouvante,
rendue tout à fait personnelle par la rapidité de
ses comparaisons, la finesse de ses manières, le charme
de son commerce, n'en paraissent que plus admirables. Si l'on
ajoute un trésor de connaissances positives dans toutes
les branches du savoir que l'on trouve rarement réunies
chez un seul homme et une bienveillance, une bonté de
cœur qui s'expriment dans tout son être, dans ses
paroles, dans ses actes ; si l'on y joint encore une influence
active, presque miraculeuse, sur les malades, au moyen du regard
pénétrant ou seulement de la main calmement levée,
tout cela accentué sur une silhouette noble et vénérable,
on aura dans ces traits principaux l'image de la personnalité que
j'ai trouvée en Mesmer. ” (130)
L'auteur du magnétisme offre toutes
ses connaissances à son hôte mais préfère
la sage tranquillité de son canton à l'ultime combat
de la reconnaissance académique de sa pratique. Il s'attache
seulement à poursuivre ses traitements auprès des
malades de son canton.
Jusqu'à son dernier jour, toujours actif, à la
disposition de ceux qui viennent le consulter, animé par
le souhait de servir son prochain, de soulager ses douleurs et
de calmer ses symptômes, Mesmer est empli de la flamme
généreuse de l'altruisme le plus pur.
Il s'éteint, paisible et rassasié de la vie au bel âge
de quatre-vingts ans.
L'histoire de cet étonnant médecin
apporte son lot de réflexions, parfois amères,
quant au sort des innovateurs sacrifiés sur l'autel de
la tradition médicale. Il est possible de s'interroger
sur les raisons de cet obscurantisme rassurant pour certains...
Quoi qu’il en soit, Mesmer est l'un des
premiers en France à avoir posé les bases de la
thérapie de groupe. De son enseignement, sont nés
de nombreux courants de réflexion, alimentant les pratiques
de disciplines à venir telles que l’hypnose et la
suggestion, la psychologie et les différentes formes de
psychothérapies.
L'un de ses plus fidèles élèves
est le comte Armand de Chastenet de Puységur (1751-1825).
Il prolonge le travail de son maître et observe que la
crise est un élément parasite dont peuvent se passer
ceux qui connaissent un “ somnambulisme magnétique ” induit
par le thérapeute.
Un changement d'orientation important s'amorça
avec l'abbé de Faria (1755-1819), qui
fut le premier à ouvrir un cours public de « sommeil
lucide » à Paris et à comprendre la
nature psychologique de ce phénomène. Cet abbé d'origine
indo-portugaise, observe qu’il est possible d’induire
un "sommeil lucide" en commandant aux sujets de dormir.
L'influence du praticien s'avère pour lui capitale quant à la
réussite de la thérapie.
En avance sur son temps, il sait intuitivement
que chacun recèle ses propres capacités de guérison.
Ce novateur contribua à montrer que tout se passe dans
l’esprit du sujet, le reste n’étant que mise
en scène.
A l’autre bout de la planète, James
Esdaile, un fameux médecin anglais, exerçait
en Inde. Jusqu'au milieu du XIXe siècle, faute de moyens,
la chirurgie se pratiquait sans anesthésie.
Dans une série d’articles et un
livre devenus célèbres, Esdaile montre que le magnétisme
permet aux patients de se couper des sensations douloureuses
pendant l'intervention. Il réalisa ainsi plus d’une
centaine d’actes chirurgicaux couronnés de succès.
Son travail a cependant été éclipsé par
l’annonce des premières anesthésies à l’éther
et au chloroforme.
En Angleterre, James Braid,
chirurgien de son état, se passionna aussi pour la pratique
des magnétiseurs. Il observa que le fait d’inviter
ses patients à se concentrer sur un objet brillant tout
en leur adressant des suggestions de relaxation amenait leur état
de conscience à se modifier. La personne demeurait alors
entre la veille et le sommeil et pouvait, dans le meilleur des
cas, ne plus ressentir la douleur de l’intervention chirurgicale.
Il baptisa cette technique hypnose ou encore
hypnotisme (du grec hypnos = sommeil). Il s'agit pour lui d'un
phénomène purement mécanique ayant pour
origine un processus neurologique.
En France, Ambroise Auguste Liébeault (1825-1904)
se passionne à tel point pour l’hypnose qu’il
renonce à sa carrière de médecin pour devenir
hypnothérapeute.
Il soigne les malades les plus pauvres gratuitement
et obtient des résultats parfois spectaculaires dont il
fait la démonstration à Hippolyte Bernheim (1840-1919).
Ce fameux professeur de médecine s’initie à cette
technique et participe à créer une école
de renommée internationale : l’École de Nancy.
C’est ce que le Dr Léon Chertok appelle “ l’âge
d’or de l’hypnose ”. (131)
Pour Bernheim tout dans l’hypnose n’est
que suggestion.
“ Toute cellule cérébrale, actionnée par une
idée, réagit sur les fibres nerveuses qui en émanent et
transmettent cette action aux organes qui doivent la réaliser... C’est
ce que j’ai appelé la loi de l’idéodynamisme. ” (132)
Une pensée suggérée se
concrétise au niveau du corps.
À peu près à la même
période, Jean Martin Charcot, (1825-1893),
professeur de neurologie à la Salpêtrière,
découvre les étonnantes manifestations des suggestions
hypnotiques. Charcot les utilise pour faire momentanément
disparaître des symptômes hystériques.
Des femmes souffrant depuis des années
d'impossibilité de se mettre debout et de marcher (astasie-abasie)
sont hypnotisées devant un vaste parterre de médecins.
Dans un état somnambulique, elles parviennent à se
lever et se déplacer. Elles recouvrent une motricité normale
dans un état d'hypnose profonde. Cependant dès
que l'état de conscience redevient ordinaire, les symptômes
réapparaissent instantanément.
Pour Charcot, ces manifestations hypnotiques
sont le fruit de mécanismes purement physiologiques. Toutefois, à la
fin de sa vie, il semble percevoir l’aspect thérapeutique
de l’auto-suggestion en écrivant son dernier ouvrage
: « La Foi qui guérit ».
Un jeune étudiant viennois assiste avec
enthousiasme à ces séances. Il s’agit de Sigmund
Freud qui entr’aperçoit l'existence de
ce champ qui révolutionna la compréhension des
troubles psychiques, à savoir celui de l'inconscient ;
champ que des médecins, des (neuro)physiologistes
et des philosophes avaient contribué à faire émerger
depuis une quarantaine d’années. (133)
Freud a l'idée d'inviter ses patients à évoquer
ce qui venait spontanément à leur esprit en état
d'hypnose. Des récits surgissent. La célèbre
patiente hystérique Anna O. évoque, lors d'une
séance, un souvenir traumatique qui explique l'origine
de sa souffrance. Au cours d’un travail approfondi, elle
identifie les liens qui existent entre la tragédie qu'elle
vécut dans l'enfance et ses symptômes actuels. Cependant
après cette fructueuse séance, elle ne se rappelle
pas de cette prise de conscience. Un phénomène
d'amnésie recouvre ce qui lui était venu à l'esprit.
Freud réitère les séances, mais sans succès.
Il décide alors d'appliquer cette méthode sans
induire d'état hypnotique.
Reprenant les propos d'Anna O., il baptise
ce travail « la cure par la parole ». C'est
la naissance de la psychanalyse.
Freud abandonne la pratique de l’hypnose
pour se consacrer tout entier à son oeuvre.
A la fin de sa vie, il estime que : « En dernière analyse,
nous devons aimer pour ne pas tomber malade. »
1°) En cas de douleur ou de symptômes
divers, l’un des premiers réflexes est d’imposer
ses mains. Prêter attention aux messages que vous adresse
votre inconscient. Ils recèlent un sens subtil riche
en enseignements. Laissez vos mains se poser sur la région
de votre corps qui pose problème.
Réalisez alors un exercice de relaxation
approfondie, et prenez conscience du bien-être que vos
mains communiquent à votre corps. Vous pouvez imaginer
une douce sensation de chaleur, une lumière ou une couleur
bienfaisante qui se diffusent en vous ; imaginez l’effet
bénéfique que ce contact génère
sur votre organisme.
Sentez progressivement se rétablir
en vous un équilibre et une harmonie internes.
2°) Elucidez les messages que vous
adressent vos rêves. Ils vous communiquent également
des informations dont il est important de tenir compte.
Par exemple si vous vous sentez seul(e),
il pourra vous arriver de rêver que vous êtes en
interaction avec de nombreuses personnes.
Votre inconscient vous communique ainsi, à sa
manière, les bienfaits que vous trouverez à nouer
de nouveaux contacts sociaux.
________________________________________
(120) Zweig S. (1994). La
guérison par l’esprit. Livre de poche. 382
p. (p. 51).
(121) Idem p. 52.
(122) Mesmer F.A. (1971). Le
magnétisme animal, Payot. (p. 51-52).
(123) Zweig S. (1994). La
guérison par l’esprit. Livre de poche. 382
p. (p. 50).
(124) Idem p. 80.
(125) Mesmer F.A. (1779). Mémoire
sur la découverte du magnétisme animal. F.
D. Didot Le Jeune, Paris, 85 p.
(126) Rapport des Commisaires chargés
par le Roi de l'examen du magnétisme animal, (1784).
(p. 64).
(127) Chertok L. (1989). Hypnose
et suggestion. PUF, ed., Paris. (p. 20).
(128) Jussieu, cité par Zweig
S. (1994). La guérison par l’esprit.
Livre de poche. 382 p. (p. 96).
(129) Bailly, Rapport secret
, in Burdin C. & Dubois F. (1841). Histoire
académique du Magnétisme animal, Paris, Baillière..
(1841).
(130) Zweig S. (1994). La
guérison par l’esprit. Livre de poche. 382
p. (p. 118).
(131) Chertok L. (1989). Hypnose
et suggestion. PUF, ed., Paris. (p. 21).
(132) Bernheim H. (1917). Automatisme
et suggestion, Alcan. (p. 10).
(133) Gauchet M. (1992). L’inconscient
cérébral. Paris Seuil.
: Hypnothérapie
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