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LA MÉDECINE ACTUELLE A-T-ELLE UN FUTUR ? 

 

 


Chronique de Jacques Collin, auteur des livres « L'Eau, le miracle oublié  » et « L'insoutenable vérité de l'Eau ».

 

LA MÉDECINE ACTUELLE A-T-ELLE UN FUTUR ?

Il semble que la médecine conventionnelle ait perdu son âme. Elle est à " arrêt sur image " et le film est stoppé. Cette médecine s'est enlisée dans les méandres de la complexité et de la spécialisation, oubliant ainsi l'individu et l'être unique que nous sommes chacun. C'est une médecine uniforme, ne soignant que les symptômes, mais ne guérissant pas, la plupart du temps. Pourtant, le temps des critiques et du dénigrement n'est plus, mais celui du bilan est nécessaire car sa refondation est annoncée.

Il faut constater que cette médecine révèle son impuissance devant les nouvelles maladies de nos civilisations industrielles, les maladies de dégénérescence et le développement foudroyant des cancers (les statistiques ne sont plus publiées depuis 2002).

C'est une médecine totalitaire, contrôlé par le Conseil de l'Ordre (Institution créée sous le régime de Vichy en 1942) définissant et décrétant lui seul la déontologie et les règles thérapeutiques. Il s'est érigé en tribunal d'exception dans notre pays. Les obligations vaccinales, l'obligation d'un médecin traitant unique etc… enferment le citoyen dans un univers de plus en plus concentrationnaire et le réduit ainsi a un simple matricule passif et anonyme offert à cette médecine lourde de plus en plus dévastatrice et imposée.

Enfin, la pression du lobby pharmaco-médical, plus soucieux de rentabilité financière que d'efficacité thérapeutique, impose des produits chimiques, non reconnus par les cellules, dont les effets secondaires négatifs ou iatrogènes, de ce fait, deviennent de plus en plus importants.

En outre, dans les milieux hospitaliers, les maladies nosocomiales (8% des décès, officiellement, mais sans doute plus) sont de moins en moins maîtrisées en raison des résistances et des systèmes de défense de plus en plus sophistiqués du milieu viral et bactérien dont l'intelligence dépasse de loin celle de nos chercheurs.

Il est évident que cette médecine agressive et guerrière, n'a pas encore admis que les individus en bonne santé vivent avec les mêmes virus et microbes que les malades.

L'agressivité des virus et bactéries sont des phénomènes endogènes dus la plupart du temps aux modification de terrain physiologique et psychique du corps qui provoquent, par polymorphisme, les mutations agressive de ces virus et microbes.

Les antibiotiques ne font qu'exacerber cette agressivité et durcir leurs défenses. Les épidémies ne sont pas ce que l'on croit ! Elles fonctionnent plus par des résonances que par des transmissions physiques.

Cette médecine, au coût exorbitant, est devant un échec patent, car son parcours matérialiste lui a fait perdre sa conscience et sa transcendance. Elle n'observe plus et ne soigne que des apparences. En effet, la maladie n'est que la résultante visible d'un processus qui commence d'abord dans les plans invisibles et subtils, (c'est-à-dire à travers les corps électriques, électroniques, quantiques et psychiques) et dont les réactions métaboliques, enzymatiques et bio-chimiques dérégulées ne sont que la conséquence.

Il faut comprendre que notre médecine conventionnelle s'est fourvoyée dans une mission impossible. Il est pratiquement impossible de gérer environ 80.000 milliards de cellules qui fabriquent au bas mot au moins 6 milliards de réactions métaboliques par seconde, alors que nous n'en connaissons même pas 10%.

C'est le mythe de Sisyphe.

En plus la spécialisation forcenée de cette médecine, plus rémunératrice, il faut le dire, conduit le malade a être soigné en pièces détachées pour, ainsi, complètement occulter l'homme holistique et sa totalité. En fait nous ne faisons que démonter le téléviseur sans connaître le fonctionnement de la télévision.

Les médecines alternatives peuvent-elles se substituer à la médecine conventionnelle ?

Devant les violences des thérapies et les résultats décevants de la médecine lourde, cette médecine dite " douce " est de plus en plus utilisée par les Français (60% des Français y ont recours).

Devant cet engouement et les résultats de plus en plus probants, la médecine conventionnelle réagit très
mal et utilise toutes les instances étatiques poussées par les pressions des lobbies pour neutraliser une médecine souvent séculaire qui menace des intérêts très puissants. De plus, elle fait voler en éclat des connaissances et des diplômes officiels qui démontrent l'étroitesse d'une vision dépassée du monde.

Du fait de leurs statuts et privilèges, de leurs pouvoirs et de cette remise en cause du savoir, cette médecine a tendance à devenir arrogante, totalitaire et brutale.

L'Etat, infiltré par ces groupes de pression, mène une politique de persécution. Il y a pour preuves, les affaires passées sous silence médiatique, telles que l'affaire Beljanski, Gaston Naessens, Loïc Le Ribault, Hammer et tant d'autres, médecins et chercheurs anonymes qui ont été poursuivis, condamnés, emprisonnés ou ont fui en exil pour avoir utilisé ou trouvé des produits, des appareils ou des méthodes a l'efficacité thérapeutique puissante et qui ont été taxés d'exercice illégal de la médecine.

Il est vrai, que cette médecine "douce" devient de moins en moins alternative et complémentaire et de plus en plus indispensable et totale et c'est ce qui fait peur aux industriels de la maladie. Mais à la charge de cette médecine qui prête le flanc aux critiques, elle fonctionne dans un environnement anarchique souvent sans aucune structure ni règles légales.

Les milliers de thérapeutes qui exercent plus ou moins légalement, certains sont douteux et il est parfois difficile de reconnaître le bon et le qualifié, du charlatan qui dessert l'éthique de cette médecine. A partir de
là il est facile de faire un amalgame.

Il y aurait lieu de crédibiliser cette médecine naturelle par des formations de thérapeutes dans des écoles reconnues et officielles à la façon des diplômes des Heilpractiker en Allemagne, dont les titulaires commencent à avoir accès dans les hôpitaux.

Pour l'instant cette médecine, en France, s'avance en ordre dispersé et s'attire plus facilement les foudres de l'administration.

Pourtant, il est vrai que de plus en plus de médecins découvrent les vertus de la médecine naturelle et sont tentés de l'appliquer face à celle qu'ils ont apprise et dont ils vérifient chaque jour la lourdeur, la nocivité et l'inefficacité.

Mais pour l'instant ce sont encore des cas isolés dont les actes, pratiqués d'une façon clandestine, sont sous la menace de sanctions très sévères du Conseil de l'Ordre.

Face a cette confrontation et ce constat et a toutes les attaques insidieuses et pernicieuses du système en place, il n'y a pas lieu à première vue, d'être optimiste sur le développement de cette médecine " douce " alors que la majorité de la population française y est favorable. Pourtant il n'y a pas lieu de désespérer.

Quelle sera cette médecine du futur ?

A moins de changements politiques importants, une nouvelle médecine ne pourra s'établir peu à peu que par les changements de conscience de chaque individu. Il ne s'agit pas simplement d'imposer par des diktats et des décrets encore une nouvelle législation rédigée par quelques élus, mais tout simplement de redéfinir, par rapport aux dernières découvertes non encore officielles, ce qu'est la vie et la santé.

La maladie existe, parce que nous avons oublié les règles élémentaires des principes de la vie. Il y a des données spirituelles que notre science matérialiste n'a pas la possibilité de prendre en compte. La Science et la Conscience sont a des années lumière l'une de l'autre et ceci a provoqué une désespérance chez beaucoup, surtout dans la jeunesse, qui s'exprime par un comportement violent, anxieux et agressif.

De plus, la mort est occultée. Ce moment sacré est devenu anonyme, un départ vers une " anéantisation " de la personne. Beaucoup vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir et finalement meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu. Une sorte de mort pour rien. Il y a lieu de retrouver l'infinitude de notre être dans cette terrifiante mort et toutes les indications des dernières découvertes scientifiques le prouvent.

Il faut réapprendre cette nouvelle science, instrument d'une vrai libération de l'être, dans les écoles et les universités.

Mais il semble que l'impasse et les interrogations devant lesquelles nous nous trouvons provoque une énorme attente. Face a une ignorance et une désinformation du public, il faut réenchanter la médecine et la santé dans un cadre dans lequel le citoyen est partie prenante, seul juge de sa santé et du ressenti personnel qu'il en a.

Chacun doit reprendre le pouvoir et les capacités de son auto-guérison en toute conscience aidé en ceci par les supports de la médecine naturelle.

La puissance et l'influence de l'esprit et de la pensée sur les désordres physiques ne sont plus à démontrer. Les dernières découvertes de la physique montrent que celles-ci deviennent de plus en plus métaphysiques et rejoignent le royaume de l'esprit où règnent l'ordre et l'harmonie. La physique devient de plus en plus métaphysique.

Nous nous apercevons que nous ne sommes pas des êtres physiques qui tentent de faire des expériences spirituelles, mais des êtres spirituels qui tentent de faire une expérience physique. L'essentiel est invisible à nos yeux et le monde visible n'est fait essentiellement que de mondes invisibles. Tout cela est maintenant démontré ou en passe de l'être.

Bien des gens sont prêts a écouter un tel langage libérateur et a reprendre en main leur destinée. En effet de nouveaux paradigmes suggèrent que notre corps biologique n'est qu'un terminal, où les atomes qui le constituent ne sont que des points d'énergie et d'information totalement immatériels. Quelque part, la matière n'existe pas. L'eau assure tous les relais et centralise tout le système informationnel pour le diffuser par résonances et fréquences électromagnétiques au niveau cellulaire et construire ainsi les formes du vivant. La qualité de cette eau va être déterminante pour faire passer cette information.

La densité d'information contenue dans la construction d'une forme dépend du niveau de conscience qu'elle reçoit. Il y a déjà préexistence de la forme et de l'entité dans une autre matrice d'espace et de temps. La physique des particules démontre parfaitement ce phénomène. Les nouvelles découvertes démontrent que notre corps biologique est en relation, à travers notre ADN, avec de multiples dimensions temporelles dont les densités et les vitesses d'écoulement de temps sont différentes. (Relativité d'Einstein).
Relayés par notre cortex cérébral qui est un puissant récepteur/émetteur, tous les ADN sont des antennes qui mémorisent ces informations.

Nous voyons qu'à partir de ces considérations, la médecine naturelle est un puissant levier pour la santé. Il est évident que toute la phytothérapie, homéopathie, fleurs de Bach, lithothérapie, oligothérapie, etc. sont des supports dont l'information qu'ils contiennent est retransmise sous forme de couplage éléctromagnétique. Les travaux de Jacques Benvéniste sont éloquents à ce sujet. Notre univers est vibratoire et toutes les fréquences électromagnétiques de notre univers ne sont que des supports qui véhiculent ces informations totalement immatérielles, provenant de ces mondes-sources.

Les appareils fréquentiels comme ceux de Priore, Lakhovsky, l'ionocinèse, etc. ne font rien d'autre que de recaler les fréquences de l'oscillation cellulaire sur le plan électromagnétique. L'électron et le photon sont les deux particules magiques dont l'intensité des flux sont à la base de la vie et de son harmonie. Ces particules, à la fois ondes et corpuscules n'appartiennent pas à notre univers, ils assurent l'interface et extraient l'information du monde de la Conscience et des Formes. (Régis Dutheil, La Médecine Superlumineuse, la bioélectronique de Louis-Claude Vincent).

Quid de la médecine ?

Il est évident qu'un fossé immense sépare encore notre médecine matérialiste et chimique de ces nouveaux paradigmes et elle n'est, certes, pas encore en mesure d'intégrer ces nouveaux concepts. Mais nous voyons progressivement une montée des nouvelles consciences qui va finir par s'imposer par l'évidence scientifique.

Devant la détresse, la souffrance, la maladie et les interrogations sur notre fin dernière, il est évident que l'humanité, après bien des balbutiements, des contradictions, finira bien par se remettre dans le vrai chemin de la vie et retrouver ses racines spirituelles. Et cela pourrait aller plus vite que prévu. Toutes les
conditions sont réunies. Jacques COLLIN

Livres de Jacques Collin : L'Eau, le miracle oublié - L'insoutenable vérité de l'Eau
(Guy Trédaniel Editeur)

Extraits du N° 179 (juillet-août 2007) de L'ERE NOUVELLE
Revue bimestrielle - Abonnement annuel 29 euros à L'ERE NOUVELLE, BP 171, 06407 CANNES cedex. (specimen contre 3 timbres)
Directeur et rédacteur en chef : Pierre LANCE
Site Internet : http://assoc.wanadoo.fr/lerenouvelle/pub

 

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