Nikola Tesla, ingénieur américain
d'origine serbe, qui fut un des pionniers de l'électricité et
le promoteur du courant alternatif aujourd'hui mondialement adopté.
Il parvenait au cours de ses expériences à produire
dans un bruit de tonnerre des éclairs de 40 mètres
et il découvrit le moyen d'utiliser la Terre comme une prise électrique
géante pour produire de l'énergie électrique
en quantité illimitée. Après sa mort, cette
invention fut occultée et jamais exploitée.
Linus Pauling, biochimiste américain mondialement connu,
Prix Nobel de chimie 1954 et Prix Nobel de la Paix 1963. Bien qu'unanimement
célébré, il fut soudain violemment critiqué et
mis à l'index lorsqu'il développa sa théorie
selon laquelle le cancer peut être mis en échec par
la simple prise de Vitamine C à hautes doses. Le corps médical
fut contraint d'admettre la valeur de cette vitamine, mais déconseilla
les fortes doses et n'admit que les doses minimes sans véritable
effet thérapeutique.
André Gernez, ancien médecin-chef à l'hôpital
de Roubaix, qui découvrit dans les années soixante
le moyen de stopper toute apparition du cancer par la prise périodique
d'un sédatif léger couramment utilisé pour
les nourrissons et ne présentant aucun effet secondaire.
Bien qu'ayant retenu un moment l'attention du gouvernement américain
du Président Nixon, cette découverte fut finalement étouffée
en France comme aux U.S.A
Gaston Naessens, inventeur en 1945 d'un médicament anti-cancéreux
très efficace, grâce à un microscope révolutionnaire
mis au point par lui-même. Il fut poursuivi et condamné en
France pour exercice illégal de la médecine et il
dut, en 1964, s'exiler au Québec, d'où il continue
de diffuser son produit vers 80 pays, malgré les ennuis
que lui créent parfois les autorités médicales
canadiennes.
David Rees-Evans, guérisseur gallois héritier d'une
longue tradition familiale en phytothérapie, qui parvenait à détruire
les tumeurs cancéreuses avec des cataplasmes de plantes.
Malgré divers procès, sa notoriété due à ses
succès ne cessa de s'étendre en Grande-Bretagne et
aux Etats-Unis. La pression de l'opinion publique obtint du gouvernemental
Britannique la nomination d'une Commission d'enquête officielle,
mais celle-ci contesta ses résultats et tenta de le discréditer.
Jean-Pierre Maschi, médecin généraliste niçois
qui découvrit dans les années 60 que la "pollution électrique" était
la cause principale de la sclérose en plaques. Il mit au
point un traitement efficace pour la soigner. Ses nombreux succès
lui valurent les premières pages de la presse et une accusation
de publicité par l'Ordre des médecins, qui le radia à vie.
Sans se soucier de cette radiation, il continua de soigner de nombreux
patients.
Paul Thépenier, ingénieur des arts et métiers,
spécialiste des exploitations pétrolières,
qui découvrit avant la guerre de 1940 le moyen de soigner
avec succès la tuberculose et le cancer grâce à des
moisissures de pétrole. Encouragé par un professeur
de médecine, il put effectuer en milieu hospitalier des
essais réussis. Mais toutes ses communications à l'Académie
de médecine furent ignorées et sa découverte
fut négligée.
Pierre Delbet, grand patron chirurgien, membre des Académies
de médecine et de chirurgie, qui découvrit durant
la guerre de 14-18 l'effet régénérateur et
anticancéreux du chlorure de magnésium. Il prouva
la validité de cette thérapie par de nombreuses expériences
ainsi que par des cartes géographiques faisant apparaître
la bien moindre fréquence du cancer dans les régions
riches en magnésium, mais il ne parvint jamais à persuader
ses confrères de proposer une politique préventive
du cancer.
Auguste Lumière, co-inventeur du cinéma, qui consacra
la seconde partie de sa vie à des recherches médicales
très poussées et couronnées de succès,
notamment contre la tuberculose. Auteur de plus de 20 ouvrages
médicaux, créateur de 150 spécialités
pharmaceutiques et d'une clinique lyonnaise réputée
employant 15 médecins et 30 collaborateurs, il ne put jamais
faire reconnaître officiellement la valeur de ses travaux
et son oeuvre tomba dans l'oubli.
Norbert Duffaut, chimiste qui découvrit en 1957 le silicium
organique et ses vertus thérapeutiques et régénératrices.
Il put apporter, au cours d'essais hospitaliers, la preuve de son
efficacité contre le cancer et les maladies cardio-vasculaires.
Malgré des succès spectaculaires et des demandes
réitérées, il ne réussit jamais à obtenir
l'autorisation de mise sur le marché de son DNR comme médicament.
Jacques Benveniste, interne des hôpitaux, directeur de recherche à l'Inserm,
qui découvrit en 1984 le phénomène dit "de
la mémoire de l'eau", lequel explique l'efficacité des
hautes dilutions homéopathiques (volumes aquatiques dans
lesquels toute trace de la molécule initialement diffusée
a disparu). Il expliqua leur effet par la transmission d'informations
imprégnées, de surcroît enregistrables et transmissibles
par Internet. Il subira toujours l'ostracisme des cénacles
officiels jusqu'à son décès en 2004.
Louis Kervran, biologiste qui découvrit dans les années
60 la réalité des transmutations biologiques, c'est-à-dire
la transformation des atomes à l'intérieur des organismes
vivants, analogue aux transmutations revendiquées par les
alchimistes médiévaux. (C'est ainsi que les poules
qui ne trouvent pas de calcaire dans leur environnement picorent
les parcelles de mica que leur corps transforme en calcaire pour édifier
les coquilles d'oeufs). Malgré les nombreuses preuves qu'il
apporta de ce que l'on appela après lui la "fusion
froide", le monde scientifique refuse encore de croire à cette
possibilité qui ouvrirait à la science de larges
horizons énergétiques et biologiques.
"Savants maudits, chercheurs exclus", Tome 2
350 pages - 20 e - Guy Trédaniel Editeur
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