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Pas de virus dans la sclérose en plaques

 

PAS DE VIRUS dans la Sclérose en Plaques

Par le Docteur Jean-Pierre MASCHI
6 boulevard Dubouchage – 06000 NICE
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Depuis 1967 je suis convaincu de l'absence de virus dans la Sclérose en Plaques alors que les spécialistes de la maladie affirment, depuis près d'un siècle, son origine virale.

Cette affection est mal nommée car elle ne se manifeste pas par des zones visibles sur la peau. C'est une maladie neurologique, décrite pour la première fois le 14 mars 1868, par le neurologue français Jean-Martin Charcot, considéré comme le père de la neurologie moderne. Elle débute généralement entre 20 et 30 ans, avec une prévalence chez les femmes. Sa symptomatologie est très variée avec des troubles visuels, des troubles sensitifs et moteurs au niveau des membres supérieurs et inférieurs, du déséquilibre, des troubles urinaires et sexuels.

Ces signes, isolés ou associés, surviennent en quelques heures ou quelques jours et peuvent disparaître totalement ou partiellement en quelques semaines. Dans le temps, la maladie évolue par poussées ou d'une façon progressive, pouvant, au cours des années, entraîner un handicap important nécessitant, pour certains malades, l'usage d'un fauteuil roulant.

La Sclérose en Plaques est, après les conséquences des accidents de la route, l'affection la plus handicapante pour les personnes jeunes.

Voici les conditions dans lesquelles j'ai été amené à m'intéresser à la Sclérose en Plaques.

J'ai fait mes études médicales à la Faculté de Médecine de Paris, de 1945 à 1953, et n'ai jamais été attiré par la recherche médicale. De 1955 à 1962, j'ai exercé comme médecin généraliste à Tuléar, ville située sur la côte Sud-Ouest de Madagascar, avant de me réinstaller à Nice en 1963. Au cours de l'année 1965, j'ai réalisé que, dans les pays industrialisés, les machines, les appareils de toutes sortes, produisant ou utilisant le courant électrique, perturbaient l'environnement électrique par les ondes électromagnétiques qu'ils émettent, et pouvaient occasionner une nouvelle forme de pollution que j'ai dénommée pollution électromagnétique.

J'ai alors formulé une théorie générale sur cette pollution, selon laquelle elle provoque une lente et progressive électrocution des organismes humains qui, suivant les individus, et en fonction de facteurs génétiques, de prédisposition pourra jouer un rôle déterminant dans les "maladies de civilisation" : affections rhumatismales, cardiaques, neurologiques. Ces maladies sont ainsi dénommées car elles sont de plus en plus fréquentes dans les pays industrialisés et assez peu répandues dans les pays en voie de développement.

Pour lutter contre les effets de cette pollution, j'ai mis au point un traitement consistant en conseils d'hygiène générale, pour éviter les agressions électriques, en en application, au niveau de la colonne vertébrale, de certains minéraux, utilisés depuis des siècles dans les stations thermales. A partir de 1967, j'ai fait suivre ce traitement à des rhumatisants. Rapidement, les résultats dépassèrent mes espérances.

C'est un événement fortuit qui m'a fait m'intéresser à la Sclérose en Plaques. Le 29 avril 1967 se présente à ma consultation une femme de 58 ans, ayant une arthrose vertébrale douloureuse et chez laquelle le diagnostic de Sclérose en Plaques avait été porté il y avait une trentaine d'années.

Assez rapidement, cette malade fut améliorée pour ses douleurs vertébrales et, à mon grand étonnement, elle constata aussi une amélioration des troubles moteurs occasionnés par la Sclérose en Plaques. A l'époque, je connaissais très mal cette affection. J'avais dû en voir 2 ou 3 cas au cours de mes études mais n'en avais jamais rencontré depuis que j'exerçais. Immédiatement, j'ai consulté des livres de neurologie qui, tous, signalaient que cette maladie se rencontre essentiellement dans l'Hémisphère Nord et les pays industrialisés alors qu'elle est très rare dans l'Hémisphère Sud et les pays en voie de développement. Classiquement, elle est considérée comme une maladie virale alors qu'aucune recherche n'a jamais pu mettre en évidence la présence d'un virus sur le sujet vivant, sur le cadavre, sur l'animal ou même dans la Nature.

Le propre des virus est d'être facilement transmissibles, or la Sclérose en Plaques n'est pas contagieuse.

Comme cette affection se rencontre essentiellement dans les pays industrialisés, j'ai alors pensé qu'elle devait être, également, une "maladie de civilisation".

Dès 1967, j'ai avancé l'hypothèse d'une cause multifactorielle, mettant en jeu un facteur génétique, de prédisposition et un facteur d'environnement, en l'occurrence la pollution électromagnétique. Les premiers sclérosés en plaques que j'ai traités m'ont tous fait part de la sensibilité de leurs troubles moteurs au stress, aux émotions de toutes sortes, entraînant une accentuation passagère de ces troubles, avec un retour à l'état initial après quelques minutes, quelques heures de repos. Ils m'ont aussi signalé qu'un stress très important était capable de déclencher une véritable poussée. Par la suite, ce sont des milliers de sclérosés en plaques qui m'ont dit avoir fait de telles constatations.

Ces constatations faites par les malades m'ont fait réaliser que, dans cette affection, il ne doit pas y avoir de lésions définitives au niveau du Système Nerveux Central car, dans ce cas, une accentuation, uniquement passagère, des troubles moteurs serait impossible.

Ces constatations m'ont aussi fait comprendre qu'il n'y a pas de virus. On voit mal comment un virus pourrait déclencher une poussée à la suite d'un stress.

A partir de 1967, des rhumatisants et des sclérosés en plaques ont été améliorés, sans être guéris, par ce traitement très simple d'emploi, sans danger et sans contre-indication.

Si mes malades étaient satisfaits de suivre ce traitement, le Conseil de l'Ordre des Médecins et le Ministère de la Santé ont porté plainte contre moi pour charlatanisme et publicité. Le 17 novembre 1968, j'ai été radié à vie du Tableau de l'Ordre des Médecins par des Conseillers de l'Ordre qui ont refusé de faire examiner plus de 500 de mes malades améliorés. Sans tenir compte de cette radiation, j'ai continué à exercer ce qui m'a valu en 1971, 1974 et 1978 d'être poursuivi pour exercice illégal de la médecine. Pour que justice me soit rendue, j'ai dû faire appel à l'arbitrage de deux Présidents de la République. Le 1er mars 1990, par Décret personnel, le Président François Mitterrand a amnistié ma radiation à vie et au mois de février 2002, j'ai été réhabilité par le Président Jacques Chirac. A la fin de 1991, j'avais volontairement cessé d'exercer.

Dès 1968, les spécialistes français de la Sclérose en Plaques ont rejeté toutes les idées que j'avais avancées sur cette affection et, depuis cette époque, ils ont été, pour moi, de farouches détracteurs.

Pourtant, en 1983, ils ont repris mon hypothèse de cause multifactorielle. Mais, pour eux, le facteur d'environnement est un virus. Virus qui, en 2006, est toujours resté introuvable. Dès 1968, les spécialistes français de la Sclérose en Plaques ont, aussi, catégoriquement, refusé de reconnaître la sensibilité des sclérosés en plaques au stress, aux émotions. Il a fallu attendre le début des années 2000 pour qu'ils reconnaissent, enfin, la sensibilité très particulière de cette maladie.

Le 22 mars 2004, "Le Quotidien du Médecin" a fait paraître un article titré "Un stress pourrait déclencher une poussée" qui commence ainsi :

"La notion du stress déclenchant une poussée de sclérose en plaques ou exacerbant la maladie remonte à Charcot, selon qui la sclérose en plaques pouvait apparaître dans les suites d'un chagrin, d'une situation humiliante ou de revers sociaux."

Les constatations faites, dès 1868, par Charcot éliminaient l'idée de la présence d'un virus, ce qui n'a pas empêché des générations de neurologues d'affirmer son origine virale. Les constatations faites par Charcot sont, pour moi, la confirmation de l'exactitude de l'hypothèse sur la cause de la maladie, que j'ai avancée en 1967.

En 1965, j'ai créé le terme pollution électromagnétique qui, maintenant, est entré dans le langage courant. Depuis une trentaine d'années, cette pollution fait l'objet de travaux dans le Monde entier. Récemment, en tapant sur Internet ce terme en français, en anglais et en allemand, j'ai constaté que l'on pouvait consulter plus de 6 millions de pages sur ce seul sujet. Cette pollution particulièrement dangereuse car étant incolore, inodore, insonore, impalpable et indolore elle touche les personnes, sans qu'elles s'en aperçoivent, ses effets néfastes ne se faisant sentir qu'après plusieurs années d'exposition.

Depuis plusieurs décennies la Sclérose en Plaques n'a cessé d'augmenter d'une façon constante et importante. En 1968, il y avait en France 25 000 sclérosés en plaques. En 2006, ils sont environ 90 000. Durant cette même période, dans le Monde entier, le nombre de malades est passé de 1 million à 2 millions et demi. Les spécialistes de la maladie font cette constatation inquiétante, mais sont incapables d'en expliquer la cause. Compte tenu de mon hypothèse sur la cause de la Sclérose en Plaques, l'augmentation du nombre de sclérosés en plaques s'explique par la progression considérable de la pollution électromagnétique. Cette hypothèse a, elle aussi, été rejetée par les spécialistes français de la Sclérose en Plaques.

Depuis 1967 je suis convaincu que la Sclérose en Plaques n'est pas une maladie virale. Au cours des années, j'ai accumulé un très grand nombre de preuves qui me permettent, aujourd'hui, d'affirmer.
Il n'y a pas de virus dans la Sclérose en Plaques et je suis en mesure d'en expliquer la cause.

Je suis conscient qu'une telle déclaration constitue un véritable défi que je lance au Monde médical, car cette affection est, actuellement, considérée comme la plus mystérieuse des maladies.

Novembre 2006 - Site web du Dr Maschi

 

 

 

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