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Pollution électromagnétique - Docteur Maschi

 

DECLARATION
faite le 19 octobre 2006 par le
Docteur Jean-Pierre MASCHI
6 Boulevard Dubouchage - 06000 NICE
Tél. 04.93.80.04.07
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En 1965, alors que j'exerçais comme médecin généraliste à Nice, j'ai réalisé que, dans les pays industrialisés, les machines, les appareils de toutes sortes produisant ou utilisant le courant électrique perturbaient l'environnement électrique, occasionnant une nouvelle forme de pollution que j'ai dénommée POLLUTION ELECTROMAGNETIQUE.

Pour lutter contre les effets de cette pollution, j'ai alors mis au point un traitement consistant en conseils d'hygiène générale, pour éviter les agressions électriques, et en application au niveau de la colonne vertébrale de certains minéraux, identiques à ceux utilisés depuis des siècles dans les stations thermales.
A partir de 1967, j'ai fait suivre ce traitement à des malades atteints de rhumatismes et de Sclérose en Plaques. Très rapidement les résultats dépassèrent mes espérances, notamment chez les sclérosés en Plaques.

Au cours de l'année 1967, j'ai formulé une théorie générale sur la pollution électromagnétique selon laquelle elle occasionne une lente et progressive électrocution des organismes humains qui, suivant les individus et en fonction de facteurs génétiques, de prédisposition, pourra jouer un rôle important dans les maladies de civilisation : affections rhumatismales, cardiaques, neurologiques dénommées ainsi car elles sont de plus en plus fréquentes dans les pays industrialisés et assez peu répandues dans les pays en voie de développement.

Toutes les enquêtes épidémiologiques faites sur la Sclérose en Plaques mettaient et mettent encore en évidence qu'elle se rencontre essentiellement dans l'Hémisphère Nord et les pays industrialisés et qu'elle est rarissime dans l'Hémisphère Sud et les pays en voie de développement.

J'ai alors pensé que cette affection est également une maladie de civilisation et dès 1967 j'ai avancé l'hypothèse d'une cause multifactorielle mettant en jeu un facteur génétique et un facteur d'environnement en l'occurrence la pollution électromagnétique.

Classiquement la Sclérose en Plaques est considérée comme une maladie virale alors que depuis plus de cent ans aucune recherche n'a mis en évidence la présence d'un virus sur le sujet vivant, sur le cadavre, sur l'animal ou même dans la Nature. Le propre des virus est d'être très facilement transmissibles, or, cette affection n'est pas contagieuse.

Les premiers sclérosés en plaques que j'ai traités m'ont tous fait part de la sensibilité de leurs troubles moteurs au stress, aux émotions de toutes sortes entraînant une accentuation passagère de ces troubles, avec un retour à l'état initial après quelques minutes, quelques heures de repos. Ils m'ont aussi signalé qu'un stress très important était capable de déclencher une véritable poussée.

Ces constatations, faites par des malades, m'ont fait réaliser que, dans cette maladie, il ne doit pas y avoir de lésions définitives au niveau du Système Nerveux Central car, dans ce cas, une accentuation, uniquement passagère, des troubles moteurs serait impossible.

Ces constatations m'ont aussi fait comprendre qu'il n y a pas de virus. On voit mal comment un virus pourrait déclencher une poussée à la suite d'un stress.

Depuis 1967, je suis convaincu que la Sclérose en Plaques n'est pas une maladie virale.

Pour expliquer la différence de fréquence des maladies de civilisation, selon les pays, j'ai réalisé que les conditions de vie des habitants doivent jouer un rôle déterminant. Dans les pays industrialisés les habitants sont, en permanence, soumis aux ondes électromagnétique émises par les appareils électriques de toutes sortes. Ils sont souvent habillés de vêtements en fibres synthétiques, productrices d'électricité statique, ce qui soumet leur peau à une agression électrique permanente qu'ils ne soupçonnent pas. Ils marchent sur des revêtements de sol qui sont des isolants électriques et les semelles de leurs chaussures sont, la plupart du temps, en matière plastique ou en caoutchouc, également des isolants électriques.

Dans les pays en voie de développement, les populations autochtones vivent beaucoup plus près de la Nature, à l'abri des ondes électromagnétiques émises par les appareils électriques. Et surtout elles marchent très souvent pieds nus, ce qui les met en permanence " à la terre".

Ces observations m'ont conduit à donner aux malades des conseils d'hygiène générale pour éviter les agressions électriques. En particulier, supprimer totalement, de jour comme de nuit, les vêtements en fibres synthétiques et porter, de préférence, des chaussures à semelles de cuir, moins isolant que le caoutchouc.

Quand cela est possible, le contact pieds nus sur le sol est le meilleur moyen de se mettre " à la terre".
Faire des douches généralisées ou sur les jambes et un moyen très simple de se "dépolluer électriquement" est d'ouvrir un robinet et de laisser ses mains sous l'eau quelques instants. Pour les personnes travaillant dans des pièces où il y a beaucoup d'appareils électriques, ce geste devrait être reproduit plusieurs fois par jour.

Ces conseils ont été très utiles à mes malades, à titre curatif, mais ils devraient être suivis, à titre préventif, par les habitants des pays industrialisés pour éviter d'être électrocutés lentement.

Décrite pour la première fois en 1868 par le neurologue français Jean-Martin CHARCOT, considéré comme le père de la neurologie moderne, la Sclérose en Plaques débute généralement entre 20 et 30 ans, avec une prévalence chez les femmes. Sa symptomatologie est très variée avec des troubles oculaires, des troubles sensitifs et moteurs au niveau des membres supérieurs et inférieurs, du déséquilibre, des troubles urinaires et sexuels.

Ces signes, isolés ou associés entre eux, surviennent en quelques heures ou quelques jours et peuvent ensuite disparaître totalement ou partiellement en quelques semaines. Dans le temps, la maladie évolue, par poussées ou d'une façon progressive, pouvant, au cours des années, entraîner un handicap important à la marche nécessitant, pour certains malades, l'usage d'un fauteuil roulant.

La Sclérose en Plaques est une maladie démyélinisante.

La myéline constitue à elle seule la moitié du poids du cerveau et les trois quarts de celui des nerfs. Dans le Système Nerveux, la myéline est produite par des cellules, les "oligodendrocytes". La production commence au 8ème mois de la grossesse et se poursuit jusqu'à 14 ans. La fibre nerveuse est composée d'une partie centrale, l'axone, dans lequel circule l'influx nerveux, entouré de manchons protecteurs de myéline.

Une comparaison peut être faite avec nos fils électriques qui comportent une partie centrale, les fils de cuivre dans lesquels circule le courant électrique, entourée d'une gaine protectrice de caoutchouc ou de matière plastique. Les oligodendrocytes vont constituer les manchons de myéline. Comme des araignées, ils tissent des fils qui s'entourent autour de l'axone en formant ces manchons, séparés les uns des autres par des étranglements, les Nœuds de Ranvier. Ces manchons, de nature graisseuse, jouent un rôle protecteur de l'axone et permettent surtout la bonne conduction de l'influx nerveux dans l'axone.

La Sclérose en Plaques est caractérisée par la destruction spontanée de certains manchons de myéline, ce qui entraîne des perturbations dans la conduction de l'influx nerveux. L'information élaborée par le cerveau n'est, alors, plus transmise aux différentes parties du corps, ce qui explique les signes multiples et variés de la maladie.

C'est ce que l'on appelle la "démyélinisation" et la maladie est dénommée Sclérose en Plaques car il se produit un durcissement, une sorte de sclérose, des tissus atteints constituant des plaques.

Quand une destruction spontanée de myéline se produit immédiatement des globules blancs, dénommés macrophages passent dans le système nerveux en traversant la barrière hémato-encéphalique. Cette barrière a pour rôle de réguler, de limiter, voire d'interdire l'entrée de certaines substances dans le cerveau. Elle se comporte comme un filtre placé entre le sang et le Système Nerveux Central.

Dès l'apparition de débris de myéline, les macrophages vont les digérer mais comme ils ne savent pas faire la différence entre les débris de myéline et la myéline des manchons sains, ils attaquent certains manchons et les détruisent.

Chez une personne n'ayant pas la Sclérose en Plaques, dès que se produit une destruction de myéline, immédiatement les oligodendrocytes se remettent à tisser des fils pour réparer les manchons abîmés. Un tel phénomène, dénommé remyélinisation, se produit à n'importe quel âge, ces cellules restant toujours en activité. Dans la Sclérose en Plaques, les mécanismes de remyélinisation sont insuffisants ou même impossibles, ce qui entraîne une aggravation de l'état du malade.

Depuis des décennies, les spécialistes de la Sclérose en Plaques constatent cette destruction spontanée de la myéline mais reconnaissent, encore, qu'ils sont incapables d'en expliquer la cause.

Ils avancent cependant une hypothèse en classant cette affection parmi les maladies auto-immunes. Le système immunitaire est impliqué dans la défense de l'organisme contre les agents étrangers, bactéries ou virus. Pour les neurologues, ce serait le propre système immunitaire du malade qui se mettrait à détruire la myéline attaquée par le virus. Une telle hypothèse sous-entend la présence d'un virus. Or, en 2006, ce problématique virus reste toujours introuvable.

Etant donné la sensibilité des sclérosés en plaques au stress, j'ai avancé, dès 1968, une hypothèse selon laquelle le stress entraîne, chez tout le monde une surtension de l'influx nerveux, normalement bien supportée par un sujet n'ayant pas la Sclérose en Plaques.

En physique, on sait que le passage du courant électrique dans un conducteur s'accompagne d'un dégagement de chaleur. Ce phénomène est dénommé "effet Joule" du nom du physicien anglais James Prescott Joule (1818-1899) qui fit cette observation. C'est ce phénomène qui permet l'éclairage artificiel et le chauffage. Une surtension accidentelle dans nos fils électriques se traduit par un échauffement anormal, capable de faire fondre, par endroits, la gaine protectrice de caoutchouc ou de matière plastique.
D'après mon hypothèse, chez les sclérosés en plaques, une surtension de l'influx nerveux entraîne un échauffement anormal de l'axone occasionnant, par endroits, la fonte de manchons de myéline qui, il faut le rappeler, est une substance graisseuse, donc très sensible à la chaleur.

Le gène de prédisposition dont sont porteurs les sclérosés en plaques ne leur permettrait pas de supporter les surtensions de l'influx nerveux et, par conséquence, les effets d'une lente et progressive électrocution provoquée par la pollution électromagnétique. Chez ces malades, la mise en route immédiate des oligodendrocytes ne peut être assurée. Elle est même souvent impossible.

Depuis quelques années, des études ont mis en évidence la sensibilité de la barrière hémato-encéphalique aux ondes électromagnétiques qui augmentent sa perméabilité. Ainsi, les lymphocytes macrophages peuvent plus facilement passer cette barrière et détruire la myéline des manchons.

La pollution électromagnétique peut donc agir de deux façons dans la Sclérose en Plaques. D'une part en provoquant l'échauffement de l'axone et d'autre part en augmentant la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique.

En 1968, quand j'ai voulu fournir aux Autorités Médicales Françaises des explications sur la pollution électromagnétique, mon traitement, mes malades et mon approche de la Sclérose en Plaques, je me suis heurté à l'hostilité du Conseil de l'Ordre des Médecins, du Ministère de la Santé et des spécialistes de la Sclérose en Plaques. Mes interlocuteurs refusèrent de faire examiner près de 500 malades améliorés que je souhaitais présenter.

Sur plaintes du Conseil de l'Ordre des Médecins, du Ministère de la Santé, le 17 novembre 1968, j'ai été radié à vie, pour charlatanisme et publicité, par des Conseillers de l'Ordre qui refusèrent catégoriquement de faire étudier ma thérapeutique et de faire examiner mes malades.

Sans me préoccuper de cette sanction, j'ai continué à exercer, ce qui m'a valu, en 1971, 1974 et 1978 d'être poursuivi pour exercice illégal de la médecine devant le Tribunal Correctionnel de Nice.

Depuis 1967, ce sont des milliers de malades rhumatisants et sclérosés en plaques qui ont été améliorés, sans être guéris, par ce traitement très simple d'emploi, sans danger, sans contre-indication et très peu onéreux d'après l'avis de mes malades qui ont été pour moi de farouches défenseurs, scandalisés qu'on ait refusé de les examiner.

Pour que justice me soit rendue, j'ai dû faire appel à l'arbitrage de deux Présidents de la République. Le 1er mars 1990, par un Décret personnel, le Président François Mitterrand a amnistié ma radiation à vie et en février 2002, j'ai été réhabilité par le Président Jacques Chirac. Dès la fin de 1991, j'avais volontairement cessé d'exercer.

Depuis une trentaine d'années, la pollution électromagnétique a fait l'objet d'innombrables travaux dans le Monde entier et le terme que j'ai créé, en 1965, pour désigner la nouvelle pollution est maintenant entré dans le langage courant.

En 1990, un spécialiste allemand des ondes électromagnétiques, Wolgang Volkrod, avait estimé, qu'au cours des trente dernières années, cette pollution avait centuplé. Et depuis, elle a encore considérablement augmenté.

Récemment, en tapant sur Internet le terme pollution électromagnétique, en français, en anglais sur Electromagnetic Pollution, et en allemand sur Elektrosmog, j'ai constaté que l'on peut consulter plus de six millions de pages, sur ce seul sujet.

Cette pollution est malheureusement encore très mal connue en France. Pourtant, depuis 1968, j'ai écrit aux successifs Ministres de la Santé pour les mettre garde contre cette pollution, particulièrement dangereuse car étant incolore, inodore, insonore, impalpable et indolore, elle touche les personnes, sans qu'elles s'en rendent compte, ses effets néfastes ne se faisant sentir qu'après plusieurs années d'exposition.

Je n'ai jamais été écouté par les Responsables de la Santé qui, en 2006, refusent toujours de reconnaître ma théorie sur la pollution électromagnétique.

Quant aux spécialistes français de la Sclérose en Plaques, ils ont rejeté, dès 1968, toutes les idées que j'avais avancées sur cette maladie. Pourtant, en 1985, ils ont repris mon hypothèse de cause multifactorielle mettant en jeu un facteur génétique et un facteur d'environnement. Mais pour eux, ce facteur n'est pas la pollution électromagnétique mais un virus.

Virus qui reste toujours introuvable alors que depuis des décennies, des milliers de Centres de Recherche continuent à le "traquer". Dès 1968, les neurologues ont, notamment, refusé de reconnaître la sensibilité des sclérosés en plaques au stress, aux contrariétés…

Ce n'est qu'au début des années 2000 qu'ils ont consenti à admettre cette sensibilité très particulière. Dans un article paru dans "Le Quotidien du Médecin" le 22 mars 2004, il est précisé que Charcot, quand il avait décrit en 1868 la maladie avait indiqué qu'elle pouvait apparaître dans les suites d'un chagrin, d'une situation humiliante ou de revers sociaux. Il avait également constaté que le stress pouvait déclencher une poussée.

Les neurologues du Monde entier n'ont jamais tenu compte des observations de Charcot qui éliminaient l'idée de la présence d'un virus. Pourtant, ce sont des générations de neurologues qui ont défendu et défendent encore l'origine virale de la Sclérose en Plaques.

Cette affection n'a cessé d'augmenter d'une façon régulière et importante au cours des dernières décennies.

En 1968, il y avait en France 25 000 sclérosés en plaques. En 2006, ils sont près de 90 000. Durant cette même période, le nombre de malades dans le Monde entier est passé de 1 million à 2 millions et demi.

Les spécialistes font cette inquiétante constatation mais reconnaissent être incapables d'expliquer cette progression.

Compte tenu de mon hypothèse sur la cause de cette maladie, la progression du nombre de sclérosés en plaques peut s'expliquer par une augmentation, durant la même période, de la pollution électromagnétique. Explication rejetée par les spécialistes français de la maladie.

Il y a 40 ans, j'ai pris conscience de l'existence d'une nouvelle pollution. Malgré tous mes efforts, je n'ai jamais pu faire reconnaître l'existence de cette pollution par les Responsables Français de la Santé.

Le 24 mai 2005, Nicolas Hulot a lancé la campagne "DEFI POUR LA TERRE " pour dénoncer les retombées de la pollution chimique.

Mon intention est de lancer une campagne, que j'ai appelée "HALTE A LA POLLUTION ELECTROMAGNETIQUE", pour faire connaître aux Français l'existence de cette pollution.

Site web du Dr Maschi

 

 

 

Pollution électromagnétique - Docteur Maschi

Pollution électromagnétique - Docteur Maschi
Pas de virus dans la sclérose en plaques

 

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