Cette proposition correctrice d’un dogme erroné reçoit
fin des années 1960 l’approbation des savants les plus éminents
spécialisés en cette matière en France :
le professeur Policard, le spécialiste mondial de ces questions,
et les savants de l’Institut de Pathologie cellulaire).
Puis vient la confirmation expérimentale par l’École
américaine. Ce bouleversement du principe fondamental de la
biologie cellulaire fut officialisé par une note discrète
et timide qui passa inaperçue dans la presse scientifique,
confirmée par les contrôles de l'équipe de Patrick
Fitzgerald, New York (Presse Médicale 12/10/1968). La même
méthode démontrait aussi que la cellule cancéreuse
donne naissance à deux cellules-filles qui, comme les cellules
embryonnaires, sont toutes deux génératrices. Auto-radiographie
( fixation d’hydrogène radio-actif (tritium) sur les
composants de l’ADN cellulaire )
Depuis des décennies donc, une énorme erreur de biologie cellulaire
empêchait de résoudre une quantité de problèmes,
dont celui du cancer, parce que l’on se trompait grossièrement
sur la structure cellulaire des organes.
« Les cellules souches se divisent : des deux cellules
filles, l’une devient une cellule souche - cellule de réserve
silencieuse jusqu’au moment où il faut combler une perte
- et l’autre entame un voyage dans le temps et dans l’espace
qui s’achèvera par la mort. Au cours de ce voyage, la
cellule va peu à peu se différencier, lui permettant
de remplir toutes les fonctions du tissu auquel elle appartient.
Cette cellule différenciée ne se divise pas. Elle n’a
pas de postérité. Professeur Lucien Israël : « Destin
du Cancer » Fayard 1997 - (pages 17 et 18).
Conjointement avec Pierre Delahousse, avec
qui il collaborait depuis plusieurs années, Gernez soumit à l’Académie
des Sciences en 1967 et 1968 des notes et un mémoire introductif :
NÉO- POSTULATS BIOLOGIQUES ET PATHOGÉNIQUES.
Il définit une théorie unifiée du cancer en quatre concepts
fondamentaux :
1) La division cellulaire en une cellule fille et une cellule fonctionnelle,
2) La limitation de la masse cellulaire,
3) La réserve quiescente,
4) Le rôle supplétif des cellules mutantes.Le jugement de l’Académie
des Sciences tomba en décembre 1968. Il prend acte d’une «… Et
même, d’éviter de passer à côté d’une très
grande découverte, technique en main, par méconnaissance
de la pathologie humaine. » Pr Turpin.
Les choses se précipitent alors.
Il est 07h00 du matin en ce mois de décembre 1968 le téléphone
sonne … C’est le directeur de l’institut Pasteur M.
Charles Gernez-Rieu.
André Gernez est convoqué le jour même à l’Institut
Pasteur à Paris.
Charles Gernez Rieu ( Académie des Sciences, Académie de Médecine,
Institut Pasteur ) après lui avoir fait part du jugement positif porté par
toutes les institutions scientifiques qu’il représente sur la
recevabilité des fondements biologiques exposés, lui demande
sur quoi débouche leur application pratique. Gernez répond qu’ils
apportent à terme la solution des maladies dégénératives.
A. Moulonguet, président de l’Académie de Médecine,
demande à Gernez un protocole d’application immédiate pour
le cancer mammaire qui est en progression angoissante.
Le 3 septembre 1969, le Président de l’Académie
de Médecine des Etats-unis Monsieur Charles L. Dunham félicite
par écrit le docteur Gernez pour ses travaux. "...The
subject is both fascinating and of great importance…
A. Gernez formule en 1969 et 1970 trois mémoires. En moins
de deux ans, il écrit ses ouvrages de références :
- La carcinogénèse mécanisme et prévention
- Cancer dynamique et éradication
- Lois et règles de la Cancérisation
Les contreforts proposés par Gernez sont : L’Hyperthermie
provoquée, transfusion de GB autologues, Pool blanc, intégration
radio-chimiothérapique, anti-mitogramme, stabilisation homéostatique
par cytolysats humoraux.
Lors d'exposés présentés à l’Académie
des Sciences en 1970, André Gernez dévoile le mécanisme
de la cancérisation, et propose une méthode préventive,
capable d’enrayer le cancer. Il s’agit de faire avorter
le processus de cancérisation dès son début,
sans attendre « le dépistage précoce » qui
est toujours trop tardif puisque la tumeur ne devient décelable
qu’après de nombreuses années de croissance,
au cours desquelles elle reste méconnue et au terme desquelles
elle devient irréversible. En attaquant le cancer plusieurs
années avant qu’il « n’émerge »,
c’est-à-dire qu’il ne soit médicalement
détectable, on aboutit « à écraser un
gland sans attendre qu’il devienne un chêne ».
Le Docteur André Gernez a, pour ce faire, élaboré une
démarche à la fois scientifique et rationnelle :
mettre en œuvre une prévention active du cancer. Une
fois par an, son traitement : Hydrate de chloral, colchicine,
vitamine C, magnésium… permet, sous la conduite d’un
médecin traitant, de détruire cette « lie cancéreuse » que
toute population cellulaire tend à acquérir avec l’âge.
Cette opération doit être renouvelée chaque année.
Au bout de trois ans, on peut constater une différence progressive
et significative de la morbidité cancéreuse entre la
population générale (qui constitue le groupe témoin)
et le groupe qui se soumet à cette prévention active.
HYDRATE DE CHLORAL
Une expérimentation fondée sur des milliers de cas
et établie sur près d’un siècle. La voici :
la seule fraction de la population qui échappât au cancer était
constituée par les malades mentaux internés. On s’en
rendit compte en 1938. Cet étrange phénomène
intrigua beaucoup sans qu’on en trouva la raison. Trente ans
plus tard, on vérifia de nouveau dans tous les pays européens,
si ce privilège détenu par les schizophrènes
persistait et l’on constata qu’il était généralisé.
A quoi était-ce dû ?
Au simple fait qu’on administrait à ces malades un
sédatif pour les tenir tranquilles dans les dortoirs. Ce sédatif
est l’hydrate de chloral. Or, ce produit est en même
temps un antimitotique, le premier antimitotique que l’on ait
découvert. Ce produit est parfaitement bénin. A telle
enseigne qu’il était administré aux bébés
quand, nourrissons, ils « font leurs dents »,
sous forme de sirop Tesseydre.
L’hydrate de chloral fut retiré du marché au
mois de septembre 2001. La théorie Gernezienne
est officialisée dans le bulletin de la ligue nationale
contre le Cancer en septembre 1972, par le Pr. Marques.
En 1972, Ch. Geffroy, après consultation à Genève du Directeur
de la cancérologie de l’OMS, diffusait, à un million d’exemplaires,
un opuscule révélant au public la procédure diététique
et médicamenteuse de prévention du docteur Gernez.
En 1973, le Dr J. Ripoche, en charge du dossier
au Ministère
de la santé, décida de révéler les résultats
des expérimentations réalisées depuis plusieurs
années dans le secret à l’institut de toxicologie
de l’Université de Paris et dont les résultats
confirmaient la théorie Gernezienne, ainsi que l’efficacité de
la procédure préventive qui en découle. Le ministre
lui-même, Mr Poniatowski, sera censuré et son successeur
niera l’existence de ces expérimentations.
En 1974, le maire de Florence, où se tient le Congrès
international de cancérologie, décide de dénoncer
dans son discours inaugural, le « mur du silence et de
la honte ». Il est destitué trois jours avant le
congrès. La brèche faite par la presse italienne dénonçant
le scandale est colmatée et sa diffusion par le POLITIKA EXPRESS
en Europe de l’Est fait l’objet d’une intervention
diplomatique en Yougoslavie.
L’étranger ne reste toutefois pas inactif, le Japon,
après avoir testé la procédure sur 250 000 volontaires,
la généralise avec pour résultat une rapide
décroissance de la morbidité cancéreuse. Les
Etats-Unis quittent la voie virale en détruisant le Hot Laboratory de
recherche du virus cancéreux et adoptent la voie orthoplasiante.
Une étude sur la base du protocole du Docteur Gernez est
lancée en 1969 à l’Institut de Toxicologie de
l’Université de Paris ( Service du Pr Truhaut ) ;
cette étude ayant pour but de confirmer ou infirmer les propositions
théoriques du docteur Gernez. Expérimentations faites
sous la forme codée (c’est à dire que les expérimentateurs
sont dans l’ignorance, jusqu’au terme des expérimentations,
des résultats susceptibles d’être obtenus, de
sorte qu’aucune influence consciente ne puisse en entacher
la valeur. ) Le docteur . J.C. Gak sera chargé de cette étude.
Le résultat est un taux de 93% de réussite. Ces résultats
ne seront jamais rendus publics …Mais, dans le même
temps, se développe, à partir d’un noyau de cancérologue
déterminés, une manœuvre d’occultation
et de silence qui va s’étendre progressivement au milieu
scientifique puis déborder au plan politique et enfin être
exportée pour que le barrage devienne infranchissable à l’étranger,
même pour ceux qui, comme Ch. Dunham ( Président Académie
de Médecine USA ) considèrent le sujet comme « fascinant
et d’une grande importance »L’invraisemblable
suit l’incroyable… Pendant des années, pas un
mot sur les travaux de Gernez ; la valeur de la théorie
a été reconnue, dés 1968, par les Académies
des Sciences et de Médecine Française, et par la plupart
des cancérologues.
Un clan, aussi réduit que puissant, décida
et concerta le silence. Devant ce silence concerté de
tous, le 4 novembre 1971 le Professeur Paul Gellé, Président
de l’Ordre des Médecins du Nord lance un appel solennel
pour dénoncer le silence orchestré sur les travaux
de Gernez. Cet appel est étouffé, on annule son intervention à la
télévision quelques minutes avant son passage à l'antenne.
Une pression est exercée à tous les niveaux de l’information
pour cacher une révolution scientifique aussi inattendue
que gênante dont voici le texte.
« Le caractère solennel de cet appel est nécessité par
la nature grave de la matière. Il s’agit du cancer.
Parmi les auditeurs adultes qui m’écoutent, et qui mourront dans
l’année à venir, 38% d’entre eux en seront la victime.
Il n’est pas question d’un traitement curatif, mais uniquement
d’une prévention de ce fléau. Elle est actuellement basée
sur des propositions qui ont été jugées, contrôlées
et expérimentées sur des animaux depuis plusieurs années.
De sorte que toute attitude dilatoire retire toute chance à la fraction
de population qui entre dans l’âge de vulnérabilité
Il ne s’agit pas de proposer ou de défendre une thèse,
mais de rompre un silence volontairement érigé, concerté et
maintenu, sans aucune justification d’ordre éthique,
et ce, en dépit de toutes les tentatives.
En conclusion le public ne peut plus s’attendre à un cheminement
naturel, traditionnel, auquel ces propositions ont déjà été soumises.
Il s’agit d’un S.O.S., d’un
sauve qui peut pour la fraction de la population en danger imminent.
Le Président du Conseil de l’Ordre, conscient de la
rigueur des exposés, au courant des multiples témoignages émanant
des plus hautes autorités en la matière qui en reconnaissent
la valeur, a considéré qu’il était de
son devoir de donner son concours et sa garantie morale à une
action entreprise en vue de la protection de la santé ;
c’est du reste une obligation qui lui est imposée par
l’article 47 du code de Déontologie.
Chacun, maintenant doit prendre les responsabilités qu’il
croit pouvoir assumer et les moyens d’action qu’il pense à sa
portée sans compter sur l’action du voisin qui risquerait
fort d’adopter la même attitude.
C’est la seule façon d’aboutir rapidement à un résultat.
La presse se fait l’écho des déclarations du docteur Gernez : « il
réclame un face à face avec ses contradicteurs ».
Pas de réponse, le monde de la cancérologie hiberne.
Le Pr. Lee Clark, responsable du plan anticancer
américain,
déclarera : « je suis stupéfait de
lire, chaque jour dans les journaux, des articles glorifiant des
inventions mineures, alors que pas un mot n’a été consacré à l’homme
qui a fait la plus importante découverte qui soit pour l’humanité »
Philippe Handler, Président de l'Académie des Sciences
des États-Unis, Brian Léonard, spécialiste mondial
de la théorie chimique, le professeur Milliez, le professeur
Turpin (cytologiste) et plus de 30 sommités mondiales de la
biologie et de la médecine témoigneront leurs félicitations à André Gernez.
Le 17 juin 1979, le Docteur Gernez reçoit à Salzbourg
en Autriche, la médaille Hans Adalbert Schweigart pour ses
travaux sur la théorie unifiée du cancer.
Il explique la stabilité de la masse cellulaire des organes,
prouve que chaque cellule cancéreuse donne naissance à deux
cellules génératrices. Il démontre la possibilité d’arrêter
la cancérisation avant sa traduction clinique, posant ainsi
les bases d’une prophylaxie active. Il propose ensuite une
méthode curative dite systématique post-opérative
synchronisée, dont l’application entraîne immédiatement
une chute de la mortalité par cancer.
Voici le texte du Président :
"Monsieur le Docteur André Gernez,
Nous avons l’honneur de vous remettre aujourd’hui,
le 17 Juin 1979, à Salzburg, ville où fut fondée
l’union mondiale pour la protection de la vie, la médaille
Hans Adalbert Schweigart, parce que vous travaillez dans le même
esprit.
Vous étiez jeune médecin -le plus jeune de France-
quand vous avez commencé vos recherches en 1947 en Suède
puis au Etats-Unis.
Vous avez fait une découverte fondamentale sur la division
cellulaire, qui expliquait la stabilité de la masse cellulaire
des organes.
Vous avez ensuite prouvé que chaque cellule cancéreuse
donnait naissance à deux cellules génératrices, éclairant
ainsi la classique courbe de prolifération exponentielle du
cancer (Collins).
Puis vous avez démontré la possibilité d’arrêter
la cancérisation avant sa traduction clinique, posant ainsi
les bases d’une prophylaxie active.
Vous avez ensuite proposé une méthode curative, dite
systématique post-opératoire synchronisée, dont
l’application à entraîné immédiatement
une chute de la mortalité par cancer, dans votre pays en 1977
et dans le monde ainsi que le constatait le président du Congrès
international sur le cancer de Buénos Aires en 1978.
Enfin, les contreforts biologiques nécessaires pour les
cancers rebelles viennent de faire la preuve de leur efficacité.
Vous avez, dès 1978, présenté vos propositions
en quatre volumes aux plus hautes autorités académiques.
Vos méthodes se généralisent actuellement.
Il y a 100 ans, votre pays nous apportait, avec Pasteur, les fondements
de l’élimination des maladies infectieuses. Il nous
apporte aujourd’hui, par vous les fondements de l’élimination
des maladies dégénératives. Nous lui en exprimons
notre admirative reconnaissance.
Nous sommes fiers, cher et honoré Docteur
Gernez, de vous remettre la médaille H.A. Schweigart, en reconnaissance
de l’importance exceptionnelle de vos travaux."
(L’Union Mondiale pour la Protection de la
Vie, était
une institution internationale. Elle était dotée d’un
conseil scientifique groupant 400 savants de 53 pays, dont 40 prix
Nobel. Son président d’honneur était le professeur
Linus Pauling (Prix Nobel de Chimie et Prix Nobel de la Paix). Et
son président le professeur Gunther Schwab.)
En 1979 sous l’égide de M. Méglin, Président
de l’Université Populaire de Paris, il expose en Sorbonne
la « Biologie du phénomène religieux ».
L’ATHEROMATOSE
Considérée unanimement comme résultat d’un
encrassement de la paroi interne de l’artère, Gernez
démontre que la lésion initiale n’est nullement
située dans cette tunique interne, mais dans la tunique moyenne
de l’artère et que, de surcroît, cette lésion
est, non pas de nature métabolique, mais de nature tumorale.
En outre et plus stupéfiant encore, il constate que cette
notion n’est pas une découverte, mais que, connue depuis
le début du siècle, elle est doctrinale et enseignée
dans les précis à l’usage des étudiants… La
situation est invraisemblable. Aurait-on, comme pour la cancérisation
qui n’est que la simple application de la loi classique ( et
oubliée) régissant les « conditions de dominance
d’un mutant », négligé d’appliquer
pour l’athèromatose une donnée connue et élémentaire.
Gernez en réfère alors aux plus grands spécialistes
en la matière, qui l’enjoignent de publier. Il n’y
parvient pas ; ces personnalités non plus. (Pr Milliez
et Pr Lagrue). Le barrage est total. Jusqu’à ce qu’une
nouvelle revue médicale, non repérée et par « inadvertance »,
en accepte la publication au début de 1986. La nature tumorale
de l’athéromatose, par dégénérescence
de la tunique moyenne de l’artère, est reconnue et officialisée
par le CNRS (Quotidien du Médecin 18 juin 1986 ).
Ce bouleversement ouvre enfin la voie à une procédure
de prévention active car, dès lors que le caractère
tumoral de la maladie vasculaire rentre dans le cadre de la cancèrose
générale, elle devient justiciable de la même
procédure préventive."
Publié avec l'aimable autorisation de
Monsieur Jean-Yves Bilien - Organisateur du Colloque Le savoir-vivre
« Si c’était vrai, ça se saurait » -
Réalisateur du DVD : Le scandale du siècle 2 volumes - Pour
visionner un extrait...
Pour en savoir plus sur les
travaux du Docteur André Gernez. Union Biologique Internationale - http://u.b.i.free.fr
Pour découvrir le protocole
du Dr Gernez.
et la brochure
complète du protocole en version .pdf (50
pages) :
Pour connaître les
autres découvertes du Docteur Gernez sur les maladies dégénératives. |