Prévention Alzheimer,
Parkinson, Sclérose en plaques, Schizophrénie
- Prévention de pathologies
dégénératives
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"En 1970 André Gernez démontre
que le dogme de la fixité neuronale est erroné et que
l’organogenèse
du cerveau n’est non seulement pas achevée à la
naissance, mais qu’elle se poursuit plus tard dans l’âge
adulte.
Il aboutit à la solution des expressions de pathologies
dégénératives (schizophrénie, sclérose
en plaques, Alzheimer, Parkinson), jusque-là empêchée
par cette erreur de dogme. L'importance de la morbidité dégénérative
dans la pathologie humaine et son poids dans la mortalité générale
rendent nécessaire la suppression d'une stimuline dont la
rémanence sécrétoire à un âge où elle
est inutile stimule les cellules anarchiques ou rompt les équilibres
homéostatiques.
La pathologie dégénérative est représentée
par des maladies diverses qui apparemment n’ont aucun lien. Pourtant
ces maladies si dissemblables ont un dénominateur commun : elles
ne peuvent apparaître ou proliférer qu’en présence
ou sous l’influence d’une hormone sécrétée
par une glande du crâne : l’hormone de croissance. C’est
une hormone qui est nécessaire, comme son nom l’indique, pour
que la croissance de l’individu s’effectue dans des conditions
normales. Mais dès que la croissance est achevée, elle n’a
plus d’utilité mais continue néanmoins à être
secrétée pendant des années comme l’hormone ovarienne
continue à être secrétée chez la femme après
la ménopause. Or, cette hormone de croissance, devenue inutile chez
l’adulte, favorise ou conditionne la survenue des principales maladies
dégénératives.
C’est ainsi qu’on ne peut cancériser
un animal dont on a supprimé la glande hypophysaire.
"Il est possible d’augmenter la durée de vie chez l’animal
par l’ablation précoce de l’hypophyse. Selon Courtial, on
ne peut cancériser un animal hypophysiolysé dont la sécrétion
d’hormone de croissance est tarie. La maturation adulte étant réalisée,
l'hormone de croissance devient inutile. Cette inhibition de la carcinogenèse
résulte de ce que l'hormone de croissance est un facteur majeur de prolifération
des cellules embryonnaires." - Presse Médicale du 25 septembre 1986.
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L’artériosclérose, l’évolution de cette maladie
est inhibée si l’on tarit l’hormone de croissance.
L’on n’a jamais constaté de sclérose en plaques chez
des individus dont l’hypophyse a été stérilisée.
En février 1980, le Ministère demande à la Direction Générale
de la Santé Publique de procéder à une enquête visant à définir
la corrélation entre la sclérose en plaques et la sécrétion
de stimuline hypophysaire. Cette enquête (Salpetrière) aboutit à la
conclusion suivante : on n’a jamais vu un hypophysiolysé contracter
la sclérose en plaques. J.O. Sénat 21 05 81.
On constate en effet que l'animal hypophysiolysé a une longévité accrue,
qu'on ne peut pas cancériser un animal hypophysiolysé, que les
pires conditions athérogenes associées au tarissement de la stimuline
(Sheehan's syndrom) ne produisent pas l'athéromatose ; qu'on ne connaît
aucun cas de Sclérose en plaques chez les hypophysiolysés (enquête
ministérielle 1991), que la Schizophrénie est corrélée à une
hypersécrétion de la stimuline de croissance, que la maladie de
Parkinson prévaut dans les pays nordiques où la puberté ,
qui freine la sécrétion de la stimuline, survient plus tardivement
que dans la zone méditerranéenne où le stock blastique est
de ce fait économisé.
La schizophrénie survient chez des individus qui présentent une
hypersécrétion de l’hormone de croissance. Il convient donc
de rompre cette corrélation. C’est à dire tarir la sécrétion
de cette hormone.
Le moyen est le suivant : Il faut pratiqué un flash d'irradiation
hypophysaire de 13,5 mCi, au niveau de la selle turcique (fosse hypophysaire)
Le Gamma-Unit ou Knife est un appareil qui
permet d'opérer le cerveau à "crâne
fermé" sans aucune procédure chirurgicale, inventé par
le neurochirurgien suédois Lars Leksell et employé depuis
1968 à Stockholm.
Il en existe deux en France à Marseille et Lille.
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Et même, si l'on se borne à tarir sélectivement
la stimuline de croissance, à l'exclusion des autres, par
une brève irradiation (à la dose de 13mCi), cette inhibition
n'est suivie "d'aucun effet secondaire, ni physiologique ni
pathologique, ni immédiat ni retardé" (Schaub
; Congrès Bordeaux, novembre 1978).
Cela constitue la solution, biologiquement
simple et élégante, à des
problèmes restés désespérément
insolubles.
Pour la rétinite diabétique, on pratique le tarissement
des milliers de fois : il suffit d’introduire par voie
nasale une particule d’or radio-actif dans l’hypophyse.
Dans le cas de la schizophrénie, Gernez démontre
que son déterminisme n’est ni psychique, ni chimique,
comme on le supposait jusqu'alors, mais structural par viciation
du réseau des connections cérébrales. Cette
théorie structurale est divulguée au Congrès
international de Vienne en juillet 1983. La réaction du représentant
de l’OMS est violente mais n’empêche pas la conversion
de Brian Léonard, le spécialiste mondialement connu.
L’année suivante, ce dernier vient en France annoncer
qu’il convient d’abandonner la voie chimique qui s’avère
incapable de résoudre le problème posé par la
schizophrénie et il y introduit la théorie structurale.
Celle-ci est officialisée par le Pr Tassin ( collège
de France ) en 1985."
Publié avec l'aimable autorisation de Monsieur
Jean-Yves Bilien - Organisateur du Colloque Le savoir-vivre « Si
c’était
vrai, ça se saurait » -
Réalisateur du DVD : Le scandale du siècle volume 2
- Pour
visionner un extrait...
Pour en savoir plus sur les travaux du Docteur
André Gernez. Union Biologique Internationale - http://u.b.i.free.fr
Pour connaître les
autres découvertes du Docteur Gernez sur le cancer.
Pour découvrir les
travaux du Docteur Jean-Pierre Maschi sur la sclérose en
plaques |
: Hypnothérapie
en ligne |