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Gestion du stress - Paris Angers

 

Gestion du stress - Paris Angers - Subventions et financements

Stress et gestion du stress - Subventions et financements

Des consultations et des formations aux techniques de gestion du stress sont proposées depuis 1997.

Pour réaliser cette action urgente et prioritaire, son fondateur et président a investi plus de 100 000 francs d'économies personnelles. Plus de quarante demandes de subventions pour un premier poste salarié ont été adressées à tous les échelons des ministères, conseils généraux, régionaux, mairies...

En 1998, le ministère de la Jeunesse et des Sports a accordé à l’association Agir pour sa Santé 10 000 francs. En 2001, le Ministère de la culture nous a apporté 30 000 francs grâce au soutien de l'équipe de Michel Charzat, maire et député PS du 20ème arrondissement de Paris.

   

 

Le champ de la santé étant bien souvent restreint à la seule profession médicale, il nous a paru essentiel d'ouvrir notre action à un domaine socio-culturel, d’où la création de l’association Espace Création Bien-être, présidée par Christophe Baudrion, éducateur sportif et dirigée par Paul Zveguinzoff, psychologue clinicien.

En mai 2001, le bail de notre local d’activité, situé au 8 rue Mont-Louis, 75011 Paris, n’a pas été renouvelé par l’association La Comédia qui nous hébergeait et qui a dû interrompre son action pour des problèmes d’ordre financier.

Malgré de nombreuses demandes d’aide aux instances nationales et parisiennes compétentes, nous n’avons pas eu la possibilité de retrouver un nouveau local.

En dépit du travail accompli, allié à une comptabilité parfaitement transparente, aucune subvention de fonctionnement pour un premier poste salarié ne nous a été apportée et notre action a jusqu’à présent buté sur l’absence de soutien aussi bien au niveau national que local.

C’est pourquoi nous avons décidé de réorienter notre action dans un champ socio-culturel au sens large du terme avec l’élaboration de nouveaux projets.

 

Stress et gestion du stress - Réduction du déficit de la Sécurité Sociale


Des recherches scientifiques montrent qu’ils serait possible de réduire le déficit chronique de la Sécurité Sociale en améliorant la qualité de vie d’un grand nombre de malades.


En effet, dans le cadre de recherches expérimentales portant sur les interventions chirurgicales, l'apport des techniques de gestion du stress permettrait de constater l'amélioration de la qualité de vie (diminution de la douleur et de l'anxiété notamment).


Une récente recherche expérimentale montre le fait qu'une préparation psychologique appropriée à l'intervention chirurgicale permet d'augmenter la qualité de vie tout en diminuant de façon significative la durée d'hospitalisation, la prescription postopératoire d'antalgiques et la période d'incapacité professionnelle. (réf.1)

Elle corrobore ainsi les recherches randomisées précédentes, le plus souvent réalisées en double-aveugle. (réf 2)

Ces études montrent une diminution significative de la durée de l'hospitalisation de deux jours en moyenne, par référence aux groupes témoins. (réf. 3)

En formant le personnel soignant à ces techniques, il serait possible de réaliser dans les années à venir des économies plus que substantielles.


Celles-ci permettraient d'être réinvesties dans la prise en charge psychologique appropriée de nos concitoyens, champions internationaux de la consommation de psychotropes et d’antidépresseurs.

Comme le stress et la dépression sont fréquemment liés à un ensemble de troubles somatiques, les économies de santé seraient alors très appréciables et chiffrables à moyen terme en dizaines de millions d'euros.

Ces calculs ont suscité l’intérêt des plus grands groupes financiers ainsi que du ministère de la santé de Grande-Bretagne.

" General Motors, Mc Donnel Douglas ou IBM (...). Ces compagnies paient à leurs salariés des formations à la méditation transcendentale pour leur apprendre à se déstresser. Mais aussi en guise de médecine préventive, pour diminuer les risques de maladies cardio-vasculaires. Pratiquée par 1 million de personnes aux Etats-Unis, largement répandue au Japon, remboursée par la Sécurité Sociale en Grande-Bretagne (...), cette méthode de relaxation (...) permettrait en quinze minutes quotidiennes d’atteindre une détente profonde bénéfique pour le moral et, à en croire des études scientifiques, pour la santé." (réf. 4)

Pour la petite histoire, j’ai écrit aux directeurs des hôpitaux de Paris et de la région parisienne en leur offrant mes services pour évaluer les effets de l’aide psychologique sur l’intervention chirurgicale. La majeure partie d’entre eux ne m’ont pas répondu. Je tentai alors de les appeler sans plus de succès.

Finalement, un directeur accepta de me parler. Il me dit sans ambages que cette proposition allait à l’encontre de l’intérêt de l’hôpital. En effet, les financements sont accordés d’une année sur l’autre en fonction des dépenses réalisées. Faire gagner de l’argent à l’hôpital revient donc à diminuer son budget de l’année suivante.

De même, les plus hautes instances auxquelles je m’adressai sont restées insensibles à ces arguments. A croire que les énarques et les politiciens ont un certain intérêt à ce que la situation de la Sécurité Sociale se dégrade ! Question d’argent et de pouvoir, probablement...

J’espère que les responsables qui liront ces lignes prendront la mesure de l’importance de la gestion du stress et notamment de la préparation à l’intervention chirurgicale.

Il est urgent que le personnel soignant soit formé à ces techniques essentielles.

Parallèlement aux soins médicaux, il est indispensable que l’hôpital devienne aussi un lieu où il soit possible à chacun de développer ses ressources personnelles et d'agir pour sa santé. A ce titre, nous proposons des formations et des supervisions.


Bibliographie

(réf.1) - M. Meurisse, M. Faymonville, F. Marchal, O. Louis & E. Hamoir. (1995). Chirurgie endocrienne sous hypnose : Mythe ou réalité. Lyon Chir., 91/6, 531-535.

(réf. 2) - Blanfield R. P. (1991). Suggestion, relaxation, and hypnosis as adjuncts in the care of surgery patients : A review of the literature. American Journal of Clinical Hypnosis, 33, 3, 172-186.

(réf. 3) - Bonke B., Schmitz P. I. M., Verhage F. & Zwaveling A. (1966). Clinical study of so-called unconscious perception during general anesthesia. British Journal of Anesthesia, 58, 957-964.

Egbert L. D., Battit G. E., Welch C. E. & Bartlett M. K. (1964). Reduction of postoperative pain by encouragement and instruction of patients. New England Journal of Medecine, 270, 825-827.

Pearson R. E. (1961). Response to suggestion given under general anesthesia. American Journal of Clinical Hypnosis, 4, 106-114.

(réf. 4) - Magazine l’Expansion. 8 Janvier 98, N° 564.

 

 

 

 

Stress et gestion du stress - Subventions et financements
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