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Protocole de René Jacquier - Créateur du Bol d'air Jacquier

DOCUMENT COMMUNIQUE A DIVERS ORGANISMES DONT L'ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE (O.M.S. GENEVE)

CANCERS, MALADIES, ET DES TRAITEMENTS POSSIBLES DU SIDA

par René JACQUIER - Diplômé de l'Université de Lyon - 32, rue Louis-Thévenet - 69004 LYON (FRANCE) - Tél. 04 78 29 65 33

Le 12 février 1987.

Ce que je propose aujourd'hui est tout un programme de recherche et d'action contre cette terrible maladie, programme fait sur des bases originales, facile à mettre en œuvre et qui doit produire rapidement des résultats encourageants, puisqu'une partie de ce programme est déjà un fait datant d'années, dans son action sur de très nombreuses maladies même très graves. Ce programme est la conséquence de travaux personnels qui, depuis 1946 ont été presque toujours vérifiés par la science mondiale qui traite de ces sujets.

Ces travaux que j'ai effectués avec souvent beaucoup d'antériorité sur d'autres chercheurs sont soit théoriques, soit pratiques, avec des résultats concrets. Ils concernent la composition générale des virus (1946), les systèmes diastasiques, les antibiotiques, l'oxygénation biocatalytique par (avant la définition) une superoxyde dismutase. (Découverte U.S.A. en 1985 que j'avais brevetée déjà sous une autre appellation en 1946-1947), le cancer, les conditions majeures pour un bon fonctionnement de l'organisme vivant.

Ces travaux peuvent être lus, car ils ont été publiés dans « Revista brasileira de medicina » en Octobre 1946 et Juillet 1947. Cette revue peut être consultée à l'Organisation mondiale de la Santé à Genève.

Ces travaux ont été aussi illustrés dans différents brevets dont un anglais n° 651 965 du 2 janvier 1947 et dans les livres « De l'Atome à la Vie » (1961-1981) et « Essai sur une Mécanique universelle » (1982). Ces travaux m'ont conduit à des résultats très positifs dans le domaine de la maladie en général, y compris le cancer, mais comme je suis chimiste, ils sont encore peu connus.

Etant donné ces faits très positifs dans leurs vérifications postérieures et leurs réalisations concrètes, ces travaux me permettent aujourd'hui de proposer tout un programme de recherche au sujet du SIDA. Je n'ai aucun moyen pour le réaliser, c'est pour cela que je le publie après enregistrement, afin qu'il puisse servir pour traiter de ce terrible fléau.

Entrons donc dans le vif du sujet.

L'observation montre pour cette très grave maladie :

1° qu'elle est provoquée par un virus ;

2° que sur de nombreux sujets séropositifs seul un pourcentage de quelque 10% ont la maladie qui se manifeste avec une virulence mortelle.

Les conclusions à tirer de cela sont les méthodes d'action contre ce mal.

La première est d'agir directement sur le virus en le tuant ou en l'empêchant dans sa virulence.

La seconde est de faire l'organisme attaqué suffisamment puissant pour neutraliser le virus vivant dans son rôle mortel.

La troisième méthode d'action, la plus efficace, serait celle de combiner les deux premières.

1° L'action directe sur le virus.

Il y a l'action actuelle des biologistes qui consiste à trouver un vaccin issu des anticorps produits par la présence du virus dans l'organisme. Nous avons expliqué l'action bienfaisante de ce type de vaccin p. 196-197 de notre livre « Essai sur une mécanique universelle », par une combinaison insoluble (donc sans action) du vaccin anticorps et du système diastasique microbien ou virusal empêchant ainsi par précipitation, insolubilisation, blocage, la vie du microbe ou du virus.

L'association antigène - anticorps est tout à fait caractéristique des protéines microbiennes diastasiques et autres qui ont engendré les anticorps. C'est une association à très haut poids moléculaire insoluble qui précipite, qui de ce fait inactive. Elle est du genre moule, produit moulé. Mais cette association, dans certains cas. peut être fragile, facilement détruite et par conséquent, de ce fait, elle n'est pas très sûre dans l'inactivation du virus ou du microbe. La solution possible est donc de renforcer cette association.

Comment éventuellement agir ? Nos thèses exprimées pages 68, 93, 94 du livre « De l'Atome à la Vie » et pages 133, 163 ... 176 du livre « Essai sur une Mécanique universelle » permettent d'éventuelles solutions. Ces thèses sont vérifiées par statistiques sur des corps connus, elles expliquent aussi l'action de transporteur d'oxygène, qu'ont certains perfluorocarbures (sang artificiel).

Ces thèses montrent que les propriétés additives de certaines molécules (anticorps dans notre cas) peuvent être considérablement renforcées par la présence dans leurs molécules, de groupes électro-négatifs forts comme le Fluor, le Chlore, le Brome, l'Iode, des groupes NOz, SOaH, etc (voir page 170) et conduire ainsi à des actions d'inhibition.

II est donc intéressant d'étudier à partir des anticorps produits par le virus du SIDA. leur fluoration. leur chloruration, leur nitration faites à sec et à basse température (pour éviter le plus possible les dégradations moléculaires) par le Fluor, le Chlore, l'acide nitrique. C'est une voie possible d'inhibition du virus du SIDA.

Deux autres voies différentes s'offrent dans une action sur les systèmes diastasiques du virus :

a) soit en les bloquant comme dans le cas des antibiotiques;

b) soit en les rendant inaccessibles par association avec un corps à grand empêchement stérique.

Nos travaux théoriques en 1946 envisageaient les virus comme étant des systèmes diastasiques particuliers, c'est-à-dire composés de deux corps par exemple zymase = apozymase +cozymase.

Les travaux très postérieurs publiés en 1955 de Frankael et Conrat sur le virus de la mosaïque du tabac, suivis de ceux de Bawden en 1956 ont montré expérimentalement la justesse de cette thèse. Elle permet de concevoir le blocage de la partie protéinique par substitution de l'autre partie, par des bloquants forts empêchant alors l'action diastasique vitale pour le virus.

Dans cette optique, l'action de l'acide picrique ou trinitrophénol est particulièrement à étudier. En effet du fait de 3 groupes éîectronégatifs NO, très forts dans sa composition, l'acide picrique a des propriétés additives considérables et inhibitrices. il s'associe même avec les hydro carbures aromatiques (voir pages 70 et 222 du livre « De l'Atome à la Vie ». L'acide picrique est un produit très commun, fabriqué industriellement depuis longtemps, dont on connaît ainsi bien l'indice de toxicité. Anciennement il servait dans le traitement des brûlures. De ce fait, il pourrait être expérimenté rapidement dans le traitement du SIDA.

Dans le même ordre d'idées, du fait de leur constitution, les fluoro-méthanes, le chloroforme, le chloral, les perfluorocarbures pourraient être essayés. Mais le chloroforme, le chloral, produits très connus en usage interne sont particulièrement indiqués. (N.B. Le chloral a cependant été interdit en France... - Source )

Dans le cas des systèmes à empêchement stérique important s'associant au virus (c'est probablement le cas de la cyclosporine dans ses actions intéressantes), l'on peut systématiquement essayer de nombreux colorants pigmentaires en dispersion teignant à la fois l'acétate de cellulose et la laine (pour l'affinité protéinique) qui pourraient se fixer sur tes corps protéiniques du virus. Une application d'ailleurs très ancienne de colorants pour traiter de maladies infectieuses est celle du bleu méthylène, du jaune d'acridine, de la gonacrine.

Envisageons maintenant la 2e méthode proposée : celle qui augmente ou qui maintient une très bonne vitalité du malade, empêchant ainsi, dans le cas des séropositifs apparemment bien portants, la virulence du virus du SIDA.

C'est une méthode totale que nous avons trouvée depuis de nombreuses années, absolument atoxique, que tous nous pouvons pratiquer sans inconvénients, qui donne des résultats très divers et positifs, dans des cas allant de l'angine de poitrine, au diabète, aux cancers, aux sinusites, à l'asthme.

Elle est basée sur le principe suivant : la maladie est en général acquise après une période de bonne santé, mises à part les maladies congénitales ou dues à des accidents. La maladie en général est due pour des raisons diverses à un disfonctionnement de l'organisme qui peut se manifester localement ou totalement dans l'organisme (en exemples une artérite locale dans les membres inférieurs ou une anémie).

En général, ce disfonctionnement est métabolique, il entraîne donc des troubles métaboliques comme l'angine de poitrine, le diabète, l'excès de cholestérol et une chute de vitalité provoquant l'implantation plus facile des maladies infectieuses.

Si donc un mauvais, un défectueux fonctionnement de l'organisme provoque la maladie, il est à penser que le rétablissement d'un bon fonctionnement fera disparaître souvent celle-ci.

Nous avons recherché et trouvé les principales conditions d'un bon fonctionnement et de ce fait réalisé les moyens pour y parvenir. Ces conditions majeures sont définies dans le livre « De l'Atome à la Vie », p. 365. Les voici résumées :

Logiquement, pour que l'organisme fonctionne bien il faut des organes. Il faut donc éviter leur mutilation grave. La vie dans ces organes est conditionnée alors :

1) par une bonne oxygénation cellulaire;

2) par une alimentation saine et totale évitant toutes les carences vitammiques hormonales, minérales, de protéines, d'hydrates de carbone, de sucres, tout cela sans excès. Les minéraux les plus importants dont nous avons défini te rôle dans « De l'Atome à la Vie » sont le Fer, le Manganèse, le Cobalt, le Magnésium, le Phosphore, l'Iode, le Calcium, le NaCI, le KCI. le S;

3) Les conditions d'oxygénation étant bonnes ainsi que celles de l'alimentation, il faut que les diverses cellules de l'organisme puissent totalement profiter de ces éléments nécessaires et complets à un bon métabolisme cellulaire.

Un homme est constitué de plusieurs milliards de cellules de qualités diverses. C'est-à-dire qu'un être vivant est très hétérogène dans sa constitution puisque chaque cellule constitue une unité biochimique. Il faut, pour un bon fonctionnement de l'ensemble, que les échanges entre ces milliards de cellules et les liquides qui amènent tous les ingrédients nécessaires à leur vie et éliminent les déchets qu'elles produisent soient bons. Ces échanges seront bons si les contacts des diverses parties dans ce milieu hétérogène sont bons. Ces contacts seront bons si les cellules sont bien mouillées par les liquides nourriciers. Cela dépendra de la tension superficielle, c'est-à-dire de la présence de produits mouillants ; parmi les naturels sont les protéines, les lécîthines, parmi les artificiels non toxiques il y a le lauryl sulfate de soude, les dérivés des polyoxydes d'éthylène et de propylène, les plasmas synthétiques, etc.

4) Les milliards de cellules qui composent un être vivant sont dispersées comme les diverses cellules sanguines, il ne faut pas qu'elles s'agglomèrent, il faut qu'elles restent dispersées. Il faut donc protéger cette dispersion.

Les protecteurs colloïdaux naturels sont surtout des protéines comme l'albumine dans le sang, ou la caséine dans le lait. D'autres sont semi-artificiels ou artificiels comme les plasmas à base de pectine ou de polyvinylpyrolidone.

Dans ces quatre conditions nécessaires à un bon fonctionnement de l'organisme, la plus difficile à réaliser était celle d'une bonne oxygénation tissulaire par biocatalyse à partir de la respiration de l'air ambiant.

Comme nous l'avons dit précédemment nous avons trouvé ce moyen en 1946. Nous avons donc une très grande expérience à son sujet. Il a été publié en 1946 dans « Revista Brasileira de Medicina » dans le contexte général sur la biocatalyse et breveté dans différents pays dont l'AngIeterre qui l'a accordé après examen des antériorités pouvant exister et examen public de plusieurs années.

C'était donc à l'époque un procédé parfaitement original. Le numéro du brevet anglais est 651 965. Ces différents brevets actuellement sont dans le domaine public.

Voici une explication sommaire et vulgarisée de ce procédé. L'oxygène ne manque point dans l'air qui nous entoure. Il est abondant comme l'eau l'est dans la mer (la pollution mise à part). La preuve en est la suivante : tes voitures qui consomment beaucoup d'oxygène, le trouvent toujours pour fonctionner, même dans les pires embouteillages des villes. Si cet oxygène ne manque pas pour les voitures, il en est de même pour nous qui en consommons beaucoup moins. De ce point de vue, pour les humains, il n'y a pas de problèmes (pollution mise à part). Mais comme pour les voitures il peut y avoir pour nous, les hommes, un problème de déficience d'allumage (biochimique évidemment). Si dans une voiture les bougies encrassées ne fonctionnent plus, elle ne pourra marcher, même si elle est alimentée par de l'oxygène hyperbar comme celui que l'on donne dans les hôpitaux aux malades.

La mise en état de l'allumage fera repartir la voiture avec l'oxygène dilué de l'air. Les bougies sont des objets qui ont le rôle le plus important dans l'oxygénation combustion de la voiture, puisque dans l'air. L'oxygène ne manque point. Il peut en être de même pour nous. J'ai trouvé, par réflexion méthodique et par cette théorie générale sur la biocatalyse, une « bougie physiologique » qui tend à rétablir un bon « allumage » dans notre organisme, « allumage physiologique » souvent défaillant pour de multiples causes, entre autres les intoxications, la pollution et surtout le vieillissement. Cette bougie physiologique agit très favorablement sur le métabolisme basal et par réactions en chaîne, en particulier en oxygénant les produits non saturés que nous pouvons avoir ou ceux introduits artificiellement comme ceux de l'aromathérapie, ou les acides gras non saturés que nous consommons, pour les transformer en produits intéressants pour des métabolismes divers (p. 71-72 de « De l'Atome à la Vie»).

Cette « bougie physiologique » est produite dans un appareil - N.B. le bol d'air Jacquier - par peroxydation par une flamme d'hydrogène violemment refroidie par de l'air chargé par barbotage à température ambiante (25°C), d'essence de térébenthine, c'est-à-dire de terpènes, surtout d'alpha et de beta pinènes (qui sont des terpènes naturels comme d'autres, le carotène, le lycopène par exemple, importants pour certains métabolismes). Ces peroxydes de terpènes contenus dans l'air de soufflage de la flamme sont respirés avec cet air en séances de 10 minutes chacune et par jour.

L'intimité de leur action a été décrite dans le livre «De l'Atome à la Vie», p. 72. Une série de 15 séances journalières est un minimum nécessaire pour, par exemple, des sinusites rebelles, des bronchites, de l'asthme. Dans des cas de cancers il faut beaucoup plus, au moins quarante, associées à ce que nous indiquerons plus avant pour traiter de maladies graves et de cancers.

Ces séances améliorent ou résolvent beaucoup de problèmes métaboliques ou infectieux par augmentation de la vitalité du malade (p. 290-291 de « De l'Atome à la Vie »). Ainsi il y a souvent diminution du taux de cholestérol qui, par sa transformation par oxygénation, élimine son hydrogène excédentaire pour devenir la vitamine D, agent de calcification.

L'oxydation plus poussée du cholestérol conduit à la production de cortisone naturelle. D'où diminution du taux de cholestérol et action bénéfique sur l'asthme. Les sucres, les graisses, les hydrates de catbone qui, par leur combustion physiologique nous donnent notre énergie seront mieux brûlés, d'où leur plus facile disparition, d'où action favorable sur le diabète par cette méthode d'oxygénation biocatalytique qui guérira aussi souvent les ulcères d'estomac.

Le sang étant le principal organisateur de la vie est fortement amélioré dans sa fonction oxygénante lors de la respiration de cette bougie physiologique. Cela explique beaucoup de choses, par exemple l'action sur les conséquences de l'artérite et les bienfaits de cette méthode sur le coeur.

"This is a remarkable result", c'est un remarquable résultat, c'est ce que dit dans un rapport le professeur et cardiologue P.R. Prasad du Médical Collège de Cardiologie de l'Université de Ranchi, dans le Bihar, aux Indes.

Par uniquement simple respiration de cette « bougie » il a obtenu, dans l'angîne de poitrine, 73 % de résultats dont 40 % totaux, 33 % modérés.

Combinés avec nos autres propositions, ces résultats auraient été meilleurs encore (« De l'Atome à la Vie », p. 356 et suivantes). Or l'on sait que ce sont les maladies cardiaques qui tuent le plus.

Du point de vue chimique, dans son action, la méthode est confirmée par les travaux faits au siècle dernier par le célèbre chimiste M. Berthelot sur l'essence de térébenthine, qui a constaté que la térébenthine constamment aérée provoquait la combustion lente du sucre (d'où action de notre procédé sur le diabète) et qu'elle cédait à l'indigo pour le décolorer, en sept mois et demi 168 fois son volume d'oxygène, le volume d'oxygène qu'elle a fixé en s'oxydant à l'air. Ces actions constatées par M. Berthelot sont de véritables actions de catalyse qui donnent toute sa valeur scientifique à nos thèses sur le mécanisme de l'action catalytique de certains peroxydes (« De l'Atome à la Vie », p. 267) et au procédé d'oxygénation catalytique que j'ai trouvé et breveté en 1946.

Les bienfaits très multiples, dans de nombreuses maladies, ont été décrits et constatés par le professeur de médecine agrégé, le docteur Max Berger, de la Faculté de Bordeaux, dans un article paru dans le «Journal de Médecine de Bordeaux » en novembre 1960.

Ainsi seule, cette méthode d'oxygénation biocatalytique donne souvent des résultats spectaculaires dans de nombreuses maladies.

Mais comme nous l'avons vu précédemment, la vie n'est pas faite uniquement par une bonne oxygénation ; il est nécessaire pour un bon fonctionnement total de l'organisme, de réunir aussi trois autres conditions majeures :

1) Alimentation sans aucune carence (protéines, sucres, hydrates de carbone, vitamines, hormones, minéraux) et sans excès.

2) Bons échanges entre les cellules et les liquides nourriciers par une tensioactîvité adéquate pour un bon mouillage cellulaire provoqué par la présence suffisante de mouillants naturels comme les protéines, les lécithines ou artificiels comme le lauryl sulfate de soude, les dérivés polymères de l'oxycte d'éthylène, ou de l'oxyde de propylène ou d'autres encore.

3) Bonne protection colloïdale où les produits précédemment cités jouent leur rôle (protéines et mouillants).

Tout ceci nous a permis de réaliser un ensemble matérialisant les quatre conditions majeures nécessaires à un bon fonctionnement de l'organisme, c'est-à-dire à une bonne vitalité. Les membres de notre famille et moi-même pratiquons depuis des années cet ensemble atoxique et vital. Cet ensemble est concrétisé en France, par la posologie suivante qui donne souvent des résultats, dans des maladies graves d'origine plus ou moins connue, dans des cancers même les plus graves comme ceux du foie, des os.

Protocole et posologie établies sur une période de 40 jours (à superviser par un médecin) :

1) Absorber pendant cette période les doses annuelles de vitamines A et D.
2) Pendant quarante jours, faire l'ensemble décrit dans une note que nous avions faite lors du Congrès du cancer de Florence en octobre 1974, note dont évidemment il n'a pas été tenu compte lors de ce congrès, soit :

A) Respirer (pour l'oxygénation biocatalytique), 10 minutes d'inhalation de peroxydes de terpènes par jour à 10-15 cm de la flamme, par la bouche grande ouverte (c'est plus facile). Dans le cancer, pendant les dix premiers jours, faire 2-3 inhalations par jour et ensuite pendant le reste du temps en faire une.

B) Administrer Fe, Co, Mn et les diverses vitamines. En France, le « Supradyne » contient tout cela. Deux pastilles par jour. Fe. Co, Mn, sont des décomposeurs de peroxydes et ainsi des accelérateurs de biocatalyse.

C) Administrer B 12 et phosphore sous forme d'Arphos (2 ampoules par jour).

D) Administrer 50 à 70 gouttes par jour de solution aqueuse à 15% de Lauryl sulfate de soude pur. mises dans un peu de lait froid pour en éviter le goût de savon.

E) Administrer 5 à 7 gouttes de teinture d'iode par jour (dans le lait du Lauryl sulfate) pour favoriser la production de l'hormone thyroxine, agent de catalyse oxygénante.

F) Administrer de la lécithine (agent mouillant). En France, «Lécithine 100 Gerblé » : une grande cuillerée à soupe bien pleine dans le potage ou dans un verre d'eau.

G) Administrer du Magnésium sous forme de chlorure de magnésium ou de « Magnogène ».

H) Administrer le matin 2 g de vitamine C (jusqu'à 7 g dans le cas de cancer).

La nourriture sera riche en protéines avec des oeufs, du lait, du fromage blanc, des yaourts et autres choses. L'acide folique pourra être apporté par exemple par des épinards, le carotène par les carottes...

Subsidiairement, l'essence de térébenthine qui est un mélange de terpènes est un ensemble de corps chimiques naturels non saturés. Le système oxygénant renforcé de l'organisme, produit par les inhalations pourra transformer plus facilement en biocatalyseur actif cette essence ; on aura une action en synergie, de même pour les corps de l'aromathérapie classique. Le médecin pourra donc administrer par voie buccale environ 50 gouttes par jour d'essence de térébenthine des Landes mises dans un peu de lait.

Toute cette posologie dans le cas de maladies plus courantes comme sinusites, asthme pourra être très simplifiée (voir le cas de l'angine de poitrine) et consister en simples inhalations accompagnées de vitamine C et de « Supradyne » par exemple.

L'essence de térébenthine contenue dans le barboteur de l'appareil à inhalation doit être remplacée au moins une fois par 15 jours, car elle épaissit dans le temps (polymérise). Dans le barboteur, le niveau d'essence fraîche doit être maintenu journellement par apport. Le médecin qui pratiquera cette méthode entièrement, obtiendra souvent des résultats spectaculaires.

L'on vient de me signaler à à ce propos un cas de SIDA apparemment guéri après un an.

La troisième méthode du programme de recherche pour traiter du SIDA, que je propose, est comme prévu, celle combinant la méthode biotique exaltant la vitalité, que je viens de décrire, qui donne, depuis des dizaines d'années déjà, des résultats très nombreux dans des maladies très diverses, et les différents programmes précédemment définis et traitant du virus. Parmi tous ces programmes l'un est très facile à mettre en route. C'est celui des actions possibles :

1) de l'acide picrique ;
2) du chloroforme ;
3) du chloral, des corps que l'on connaît déjà très bien dans certaines de leurs applications en médecine.

L'acide picrique pourrait être introduit dans l'organisme par application de solution aqueuse sur de très grandes surfaces de la peau, par exemple, comme dans le cas des brûlés, ou éventuellement injecté. Le chloroforme pourrait être respiré. Le chloral, bu. (N.B. Le chloral a cependant été interdit en France...)

En conclusion, très rapidement, tout cela pourrait être fait en concomitance avec le système biotique total très détaillé et déjà très expérimenté que nous avons donné, avec soit l'acide picrique, soit le chloroforme, soit le chloral. Si résultats il doit y avoir, ils pourraient être ainsi rapidement obtenus.

Mon rôle d'information étant ainsi terminé, je pense, étant donné le fléau mortel que représente actuellement le SIDA, que ce que je propose bénévolement sera pris, pour le bien des hommes, en considération.

Fait à Lyon, le 12 février 1987.

René JACQUIER.

 

Pour découvrir le DVD de René Jacquier...

A noter que le Bol d'air Jacquier n'aurait pas fait ses preuves d'un point de vue "scientifique" selon le Ministère de la Santé qui en a interdit la publicité - Source 1 - Source 2

Pourtant, Réné Jacquier a sollicité à de nombreuses reprises que des recherches soient réalisées pour déterminer l'efficacité de son invention, ce qui lui a toujours été refusé par les instances de santé françaises ! Cependant, les témoignages des bienfaits de cet appareil - y compris ceux des médecins - sont nombreux :

Source 1 - Source 2

 

 

 

 

 

Protocole de René Jacquier - Créateur du Bol d'air Jacquier
Les guérisseurs, la foi, la science.

 

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