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Gestion du stress - Stress et gestion du stress - Forum - Archive 3

Problème - Solution - Forum psy

Gestion du stress - Stress et gestion du stress.

 

Philippe
Modérateur - Equipe CORSICAfr
Inscrit le: 08 Nov 2003

Messages: 101

Posté le: 26 Jan 2005 18:23    Sujet du message: Question ?

Comment peut on apaiser au mieux quelqu'un de constament stressé par son rythme de vie ?

Merci.
_________________
Modérateur

 


Paul

Inscrit le: 11 Jan 2005
Messages: 544
Localisation: Haute Corse
Posté le: 28 Jan 2005 17:36    

Votre question très intéressante en appelle plusieurs :

1 - S’agit-il de vous ou de quelqu’un d’autre ?

2 - S’il s’agit de quelqu’un d’autre, peut-on susciter un changement chez une personne qui n’en fait pas la demande ?

3 - Toute plainte est-elle sincèrement motivée par un désir de changement ?

4 - Comment amener le changement chez une personne qui exprime son malaise ?

1 - Pour répondre à la première question : s’il s’agit de vous, le changement serait peut-être de travailler sur votre organisation au quotidien mais aussi sur votre attente concernant ce que vous entreprenez. Certaines personnes perfectionnistes veulent que tout ce qu’elles réalisent confinent à la perfection. Or, comme on le sait, “la perfection n’est pas de ce monde”. Bien souvent ces personnes s’épuisent dans leur course à l’idéal. Elles perdent du temps à douter de la qualité de leurs productions ; productions qu’elles modifient sans cesse en perdant beaucoup de temps. Un remède à cette difficulté est de s’octroyer un temps déterminé pour réaliser une action et de s’y tenir. Par extension, élaborer un planning horaire peut aider à gérer ses activités sans se laisser déborder par le temps que leur mise en oeuvre nécessite.

2 - S’il n’y a pas de demande explicite, le changement est difficile à produire. On se heurte souvent à l’absence de motivation réelle de changement. D’autant que certaines personnes n’existent que par leurs plaintes, qui, à un certain niveau, leur donnent paradoxalement une raison d’être du genre : “Je suis débordé donc j’ai de l’importance (même si je n’ai plus de temps pour moi), donc je suis !” Face à ce mode de fonctionnement paradoxal, certains thérapeutes préconisent d’utiliser un contre-paradoxe qui consiste à exacerber le problème pour le rendre suffisamment insupportable pour susciter un réel et sincère désir de changement. C’est à partir de là que le travail de changement peut commencer.

3 - Certaines personnes se créent, souvent inconsciemment, leur propre enfer. Paul Watzlawick a d’ailleurs consacré un ouvrage sur ce thème intitulé avec humour : “Faites vous-même votre malheur !” Les plaintes exprimées par ces personnes ont parfois pour objectif d’attirer l’attention de leur entourage sur elles. C’est ce qu’on appele les bénéfices secondaires des symptômes. L’entourage aura alors la tâche de réconforter, de rassurer, d’être présent pour apporter son aide. C’est précisément ce qu’attend la personne manifestant ses difficultés. Il est particulièrement difficile de modifier ce mode de fonctionnement car il est souvent ancré au plus profond de la personnalité d’un individu et hérité de ses parents, de ses grands-parents... Un désintérêt progressif vis-à-vis des symptômes au profit de l’individu peut permettre, grâce à une bienveillante neutralité d’aider la personne à se passer de ces difficultés.

4 - Le plus souvent en consultation de psychothérapie, les personnes viennent pour changer à condition de ne surtout rien changer de leur mode de fonctionnement. Les résistances au changement doivent être accompagnées avec patience jusqu’à ce que la personne voit sa motivation constituer une force suffisante pour se prendre en mains et créer le changement. J’ai fréquemment été confronté dans ma pratique à des personnes qui voyaient leurs problèmes disparaître, en une ou deux séances, grâce à leur pratique de techniques de gestion du stress et de relaxation. Alors, elles faisaient volte-face, cessaient de pratiquer et voyaient, presque soulagées, leur problèmes se manifester à nouveau. Tout l’enjeu de la thérapie consistait alors à prendre le temps de les accompagner progressivement vers le mode de fonctionnement auquel elles aspiraient, tout en les confrontant avec diplomatie à leurs propres résistances. C’est pourquoi les psychothérapies nécessitent du temps, parfois des mois ou des années..

Cordialement

Paul


 eric
Equipe CORSICAfr
Inscrit le: 07 Nov 2003
Messages: 40
Localisation: Bastia
Posté le: 28 Jan 2005 21:52    

C'est avec une très grande attention que j'ai lue vos questions et les réponses que vous y avez apportées. En effet, je pense qu’une mauvaise gestion de son temps, de son stress devient un piège qui débouche le plus souvent sur un mal-être et engendre des troubles physiques et psychologiques. Notre société et ses "modèles" nous incitent à une quête éperdue de perfection, de réussite sociale au détriment d'une santé bien trop fragile et oh combien négligée. Se surpasser encore et toujours, exiger davantage de son corps, de son esprit, des ses capacités de travail peut nous amener une énergie que je qualifierais de négative avec le temps, une sorte de force euphorisante, anesthésiante mais destructive également et qui conduit inéluctablement au surmenage qu'il soit intellectuel, physique, psychique ou bien les trois à la fois. Je pense sincèrement que grâce en l'occurrence à une meilleure connaissance de soi et de ses limites, il faut conserver son propre espace vital, définir des objectifs à court terme afin de préserver une motivation intacte, sans tomber dans le piège du surmenage ou de la pseudo perfection et sans devoir supporter le lourd fardeau d'un enfer au quotidien que l'on se crée souvent tout seul comme vous le dite si bien. En conclusion je dirais simplement en toute humilité qu'il y a des but qui sont hors d'atteinte et "qu'a l'impossible nul n'est tenu", qu’il faut savoir se préserver, d'autant plus lorsqu'il en va de sa santé ou bien du mal que le peut procurer à son entourage proche. Ne pas se laisser ronger par « le stress », retrouver une paix intérieure, prendre du recul, acquérir une certaine sagesse, relativiser, être épicurien dans l'âme pour ne pas succomber à l'aliénation ou bien à l'instinct grégaire qu'aimerait bien nous imposer notre société n'attend pas le nombre des années, mais demande parfois beaucoup d'effort et dans certains cas, l'aide de professionnels comme vous.
_________________
cordialement
 

 

krka

Inscrit le: 02 Déc 2004
Messages: 3

Posté le: 31 Jan 2005 18:42    

Pour destressé une personne surchargé de boulot, je donnerai ici quelques pistes :

- Apprendre à délégué, ce qui veut dire notament accepté que ce qui est fait par les autres n'est pas exactement ce que nous prevoyons à l'origine. Mais si la direction originel est présevé, on s'appercevra que les différences n'entravent pas le projet à long terme.

- prendre un peu de vacances avant l'explosion. Antibes est une ville très agréable en cette saison
_________________
Krka
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lanthana

Inscrit le: 01 Fév 2005
Messages: 13

Posté le: 01 Fév 2005 10:45    

Salut à tous
Cette question est très intéressante car actuellement beaucoup d’individu subisse les ravages du le stress.
Je pense que pour apaiser ce rongeur de l’âme et du corps, il faut d’abord se remettre en question et savoir de quoi nous sommes capable et où sont nos limites (quelque que soit les situations), ensuite il faut s’accorder des moments de pauses (par exemples même sur son lieu de travail prendre 5 à 10 minutes et puis essayer de respirer de l’air pur , ce vider les poumons , penser aux taches que vous avez déjà accomplies , essayer de penser à des choses positives, en gros essayer de changer les idées le plus possibles , rire est aussi un bon moyen pour lutter contre le stress) .
Si vous subissez la pression d’un de vos collègues ou de votre supérieur dans certain cas remettre les choses en place et dire carrément ce qui vous dérange peu être bénéfique pour l’un comme pour l’autre et savoir ou l’on met les pieds et à qui l’on a affaire est déjà un poids en moins à porter.
Moi, j’ai vécu il y a quelque temps une situation professionnelle très stressante avec mon patron car il passait ses nerfs sur moi pour un rien, et chaque que fois que d’autre personnes faisaient mal leur boulot, je subissais son mécontentement, constamment mon travail était remis en question. Ce qui m’a amener à douter de moi, de mes capacités, après j’ai perdu tout envie de me lever pour travailler, perte d’appétit, je ne dormais plus, j’ai perdu presque 5kg en moins de 2 mois, bref la total et j’étais à deux doigts de quitter ce poste. Puis un jour j’ai décidé que cette situation ne pouvait plus durée j’ai « pris le taureau par les cornes » et je lui ait demandé pourquoi, il avait ce comportement avec moi, quelle était mes erreurs professionnelles, et je lui ait dit que si je n’étais pas capables de faire les taches pour lesquelles il me payait je partirais de sa société. Et en fait, on discutant avec lui, je me suis aperçu qui n’avait rien contre moi (ni contre mes capacités tout au contraire) et que lui-même subissait une pression énorme et que j’étais la seule personne (qui ne lui disait rien) et sur laquelle, il pouvait évacuer son stress. Suite à cette conversation, nos relations se sont améliorées et maintenant dès qu’il a des problèmes, il vient et on prend 5 minutes pour en discuter. Même si je n’ai pas les réponses à ses requêtes, le faite de dire les choses est pour lui un moyen minime soit il d’évacuer son stress.
Je sais ce n’est pas toujours facile et des situations de stress lié au travail ne sont pas toutes identiques pour chaque individus, voici quelque site Internet qui pourront peut être vous aidé :

http://agency.osha.eu.int/news/press_releases/fr/02_07_2002/
http://management.journaldunet.com/dossiers/031113stress/index.shtml
http://www.luttemagazine.com/article.php3?id_article=219
http://www.relaxation-quietude.com/entrep.htm#stress
http://www.maieusthesie.com/nouveautes/article/stress.htm

Et bon courage à tout ceux qui subissent ces situations


 

or2004

Inscrit le: 30 Nov 2004
Messages: 39

Posté le: 01 Fév 2005 10:54    Sujet du message:

Bonjour à ton le monde
Merci lanthana pour ces liens
J'en ai vu certain et je vais essayer vos technique a tous pour etre moins stress au boulot (En fait je crois qu'on premier je vais commencer par un petit voyage aux "ANTIBES" )

 

Paul

Inscrit le: 11 Jan 2005
Messages: 544
Localisation: Haute Corse
Posté le: 01 Fév 2005 11:41    Sujet du message: Les psys...


Bravo pour ces belles analyse et synthèse ainsi que pour ces liens judicieux !

Il est vrai qu’au regard de la situation française en matière de maladie mentale, de cancers et autres suicides, on peut se demander si notre société modélisatrice n’est pas réellement mortifère... ll faut savoir s’en protéger.

Pour ce qui est de l’aide des pros, je suis convaincu que le fait de tenir un journal de bord ou d’écrire un blog (journal publié sur le web) peut s’avérer thérapeutique pour la majeure partie des personnes confrontées à une situation difficile. (Pour plus de détail, voir la rubrique : techniques de santé...) C’est surtout lorsque ces techniques ne sont pas suffisantes que l’aide d’un pro est utile. Et là, il s’agit de choisir : Un psychiatre, un psychanalyste, un psychothérapeute ou un psychologue ?

Vous connaissez la différence ?

Tous ont pour objectif d’apporter un soutien et une aide effective, mais pas de la même façon.

- Un psychiatre, de formation médicale, est habilité à délivrer des prescriptions médicamenteuses pouvant aller, dans certains cas jusqu’à une hospitalisation et des électro-chocs (anodinement appelée cure de sismothérapie...)

Ces traitements brutaux et dégradants sont prescrits quand toute autre thérapeutique médicamenteuse est jugée infructueuse.

L’un des problèmes majeurs de notre société française est que nous sommes le champion du monde de la consommation d’anxyolitiques, d’antidépresseurs et d’antalgiques. Il semble que pour satisfaire les appétits féroces des lobbies pharmaceutiques, les politiques qui y sont liés cautionnent par leur silence complice cet état de fait ; et les médecins continuent de prescrire... Un brave médecin a même été jusqu’à prescrire du prozac “à titre préventif” à une de ses patientes qui voulait arrêter de fumer !!! Le pendant de cette situation est la dépendance aux traitements et leur cortège habituel d’effets secondaires sur lesquels le ministère de la santé ferme pudiquement les yeux...

- A l’inverse, un psychanalyste propose la fameuse catharsis, la cure par la parole inventée par Sigmund Freud. L’analyse que réalise le patient est une méthode de connaissance de soi, voie royale, tout comme le rêve, qui mène à l’inconscient. Le silence et la neutralité bienveillante du psy permettent l’émergence du transfert, relation d’amour et/ou de haine du patient vers le psy. Son analyse renvoie la personne à ses relations familiales et parentales qu’elle reproduit avec le psy. Ce travail peut prendre des années et revêt souvent la forme d’un parcours quasi initiatique vers l’acceptation de soi.

Coluche (je crois) racontait cette histoire :
Un jour, à l’armée, deux trouffions en viennent aux confidences.
- J’ai vraiment un problème, dit l’un, c’est délicat, c’est pas facile à dire... Bon voila..., je pisse au lit !
L’autre lui conseille alors un psychanalyste vraiment très bien.
Fin du service, les amis se perdent de vue, la vie continue.
Et un jour, vingt ans après, ils se retrouvent par hasard au coin d’une rue. Après les effusions d’usage, ils en reviennent aux confidences :
- Ah dis donc c’est drôle, je viens justement de terminer l’analyse que tu m’as conseillée. Très bien le psy, mais il m’a fallu quand même vingt ans pour guérir complètement !
- Dis donc, alors, ça y est, tu ne pisse plus au lit ?
- Si toujours, répond l’autre, mais maintenant je m’en fous, je sais pourquoi !

Cette histoire, un brin sarcastique, montre que l’analyse peut être un très long cheminement comme l’a compris Freud lui-même au travers l’un de ses livres au titre éloquent ; “Analyse terminée - Analyse interminable.”

Reste que ce type de démarche n’est pas donné à tout le monde. Woody Allen, en connaisseur, qui se dit volontiers “accro” à son psy qu’il rencontre depuis plus de vingt ans a raconté, estime que pour réussir une analyse, il faut être : très riche, très patient, très intelligent, très courageux, très déterminé et surtout ne pas avoir de problèmes !
cqfd...

- Le psychologue clinicien est en principe spécialisé en relation d’aide. En réalité, après cinq années d’études de sciences humaines, il est sutout utilisé pour faire passer des tests et confirmer le diagnostic du psychiatre. Il est initié à la théorie psychanalytique et rarement à d’autres modèles de psychothérapies. Il y a, là aussi, un lobby psychanalytique au sein de la majeure partie des universités françaises qui distille l’idée qu’en dehors de l’analyse, il n’y a rien de bon, que les symptômes se déplacent, etc. Pour être tout-à-fait honnête, je dirais que le psychologue qui vient de sortir de la faculté, bien qu’ayant la tête farcie de connaissances ne sait pas vraiment être thérapeutique. Il lui faut entamer un travail sur lui-même et se former à la psychothérapie pour pouvoir commencer à apporter son aide d’une façon efficace.

- Pour devenir psychothérapeute il faut suivre une, ou de préférence, plusieurs formations privées. Certaines ne durent que quelques mois. Les plus sérieuses durent plusieurs années et sont réservées aux professionnels (psychologues ou psychiatres). Il existe des dizaines de modèles de psychothérapies différents : approche systémique ou éricksonienne, thérapie cognitivo-comportementale ou relaxation, sophrologie ou hypnothérapie, PNL ou bio-feedback sont, d’après les recherches scientifiques, parmi les plus efficaces et les plus rapides. Mais le statut de psychothérapeute est en discussion. En effet, pour l’instant, après une formation privée minimale et aucune étude universitaire, il est possible de s’installer comme psychothérapeute, ce qui n’est pas du tout au goût de certains psychologues et surtout des psychiatres qui voient là une concurrence déloyale. La réglementation devrait être prochainement modifiée par nos élus, malgré les protestations des psychothérapeutes. Affaire à suivre... Reste que certains psychothérapeutes non universitaires réalisent parfois un travail remarquable et beaucoup plus probant que celui de leur collègues dument et légalement diplômés. L’intelligence du coeur n’est pas enseignée à l’université alors que c’est l’un des ingrédients essentiels de la conduite d’une psychothérapie réussie!

Cordialement

Paul


 
Philippe
Equipe CORSICAfr
Inscrit le: 08 Nov 2003
Messages: 101

Posté le: 01 Fév 2005 16:24    

sante a écrit:
2 - S’il n’y a pas de demande explicite, le changement est difficile à produire. On se heurte souvent à l’absence de motivation réelle de changement. D’autant que certaines personnes n’existent que par leurs plaintes, qui, à un certain niveau, leur donnent paradoxalement une raison d’être du genre : “Je suis débordé donc j’ai de l’importance (même si je n’ai plus de temps pour moi), donc je suis !” Face à ce mode de fonctionnement paradoxal, certains thérapeutes préconisent d’utiliser un contre-paradoxe qui consiste à exacerber le problème pour le rendre suffisamment insupportable pour susciter un réel et sincère désir de changement. C’est à partir de là que le travail de changement peut commencer.
3 - Certaines personnes se créent, souvent inconsciemment, leur propre enfer. Paul Watzlawick a d’ailleurs consacré un ouvrage sur ce thème intitulé avec humour : “Faites vous-même votre malheur !” Les plaintes exprimées par ces personnes ont parfois pour objectif d’attirer l’attention de leur entourage sur elles. C’est ce qu’on appele les bénéfices secondaires des symptômes. L’entourage aura alors la tâche de réconforter, de rassurer, d’être présent pour apporter son aide. C’est précisément ce qu’attend la personne manifestant ses difficultés. Il est particulièrement difficile de modifier ce mode de fonctionnement car il est souvent ancré au plus profond de la personnalité d’un individu et hérité de ses parents, de ses grands-parents... Un désintérêt progressif vis-à-vis des symptômes au profit de l’individu peut permettre, grâce à une bienveillante neutralité d’aider la personne à se passer de ces difficultés.
Cordialement
Paul

En réponse à ma question je pense trouver réponse au travers de ces deux analyses, merci beaucoup. Il ne me reste plus à présent qu'à m'armer de courage et de détermination... sans oublier la Patience. Salut Krka.
_________________
Modérateur
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 lanthana

Inscrit le: 01 Fév 2005
Messages: 13

Posté le: 02 Fév 2005 10:27    

Bonjour à tous

Dernièrement j’ai trouvé un site Web qui traitait du stress selon les groupes sanguin de chaque individu. Ce site disait en gros que les personnes de groupe sanguin différent réagissaient de manière dissemblable face à des situations stressantes et que les méthodes de luttes contre le stress étaient elles aussi divergentes selon leurs groupes.

J’aimerai savoir si ses données sont exactes ou si elles sont fondées sur un tissu de mensonge.
Si oui, est ce que de réelles études ont été menées sur ce sujet ???

Merci d’avance
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Paul

 

Inscrit le: 11 Jan 2005
Messages: 544
Localisation: Haute Corse
Posté le: 02 Fév 2005 16:27    Sujet du message: ???

Bonjour,

Pourriez-vous me donner l'adresse de ce site ?

Cordialement

Paul
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lanthana

 

Inscrit le: 01 Fév 2005
Messages: 13

Posté le: 06 Fév 2005 23:47    Sujet du message:

Bonjour Paul et tous les autres internautes
J’ai malheureusement de mauvaises nouvelles à vous annoncer, je n’arrive plus à retrouver ce site en question et c’est bien dommage.
Voici toutefois (après mainte recherche) quelques sites qui survolent un peu ce sujet :

http://www.nutranews.org/fra/index.php?articleid=3142
http://www.librairiegemini.com/sante.htm
http://www.abovie.com/

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