Paul
Inscrit le: 11 Jan 2005
Messages: 544
Localisation: Haute Corse
Posté le: 28 Jan 2005 17:36
Votre question très intéressante en appelle plusieurs
:
1 - S’agit-il de vous ou de quelqu’un d’autre
?
2 - S’il s’agit de quelqu’un d’autre,
peut-on susciter un changement chez une personne qui n’en
fait pas la demande ?
3 - Toute plainte est-elle sincèrement motivée
par un désir de changement ?
4 - Comment amener le changement chez une personne qui exprime
son malaise ?
1 - Pour répondre à la première question
: s’il s’agit de vous, le changement serait peut-être
de travailler sur votre organisation au quotidien mais aussi
sur votre attente concernant ce que vous entreprenez. Certaines
personnes perfectionnistes veulent que tout ce qu’elles
réalisent confinent à la perfection. Or, comme
on le sait, “la perfection n’est pas de ce monde”.
Bien souvent ces personnes s’épuisent dans leur
course à l’idéal. Elles perdent du temps à douter
de la qualité de leurs productions ; productions qu’elles
modifient sans cesse en perdant beaucoup de temps. Un remède à cette
difficulté est de s’octroyer un temps déterminé pour
réaliser une action et de s’y tenir. Par extension, élaborer
un planning horaire peut aider à gérer ses activités
sans se laisser déborder par le temps que leur mise
en oeuvre nécessite.
2 - S’il n’y a pas de demande explicite, le changement
est difficile à produire. On se heurte souvent à l’absence
de motivation réelle de changement. D’autant que
certaines personnes n’existent que par leurs plaintes,
qui, à un certain niveau, leur donnent paradoxalement
une raison d’être du genre : “Je suis débordé donc
j’ai de l’importance (même si je n’ai
plus de temps pour moi), donc je suis !” Face à ce
mode de fonctionnement paradoxal, certains thérapeutes
préconisent d’utiliser un contre-paradoxe qui
consiste à exacerber le problème pour le rendre
suffisamment insupportable pour susciter un réel et
sincère désir de changement. C’est à partir
de là que le travail de changement peut commencer.
3 - Certaines personnes se créent, souvent inconsciemment,
leur propre enfer. Paul Watzlawick a d’ailleurs consacré un
ouvrage sur ce thème intitulé avec humour : “Faites
vous-même votre malheur !” Les plaintes exprimées
par ces personnes ont parfois pour objectif d’attirer
l’attention de leur entourage sur elles. C’est
ce qu’on appele les bénéfices secondaires
des symptômes. L’entourage aura alors la tâche
de réconforter, de rassurer, d’être présent
pour apporter son aide. C’est précisément
ce qu’attend la personne manifestant ses difficultés.
Il est particulièrement difficile de modifier ce mode
de fonctionnement car il est souvent ancré au plus profond
de la personnalité d’un individu et hérité de
ses parents, de ses grands-parents... Un désintérêt
progressif vis-à-vis des symptômes au profit de
l’individu peut permettre, grâce à une bienveillante
neutralité d’aider la personne à se passer
de ces difficultés.
4 - Le plus souvent en consultation de psychothérapie,
les personnes viennent pour changer à condition de ne
surtout rien changer de leur mode de fonctionnement. Les résistances
au changement doivent être accompagnées avec patience
jusqu’à ce que la personne voit sa motivation
constituer une force suffisante pour se prendre en mains et
créer le changement. J’ai fréquemment été confronté dans
ma pratique à des personnes qui voyaient leurs problèmes
disparaître, en une ou deux séances, grâce à leur
pratique de techniques de gestion du stress et de relaxation.
Alors, elles faisaient volte-face, cessaient de pratiquer et
voyaient, presque soulagées, leur problèmes se
manifester à nouveau. Tout l’enjeu de la thérapie
consistait alors à prendre le temps de les accompagner
progressivement vers le mode de fonctionnement auquel elles
aspiraient, tout en les confrontant avec diplomatie à leurs
propres résistances. C’est pourquoi les psychothérapies
nécessitent du temps, parfois des mois ou des années..
Cordialement
Paul
eric
Equipe CORSICAfr Inscrit le: 07 Nov 2003
Messages: 40
Localisation: Bastia
Posté le: 28 Jan 2005 21:52
C'est avec une très grande attention que j'ai lue vos
questions et les réponses que vous y avez apportées.
En effet, je pense qu’une mauvaise gestion de son temps,
de son stress devient un piège qui débouche le
plus souvent sur un mal-être et engendre des troubles
physiques et psychologiques. Notre société et
ses "modèles" nous incitent à une quête éperdue
de perfection, de réussite sociale au détriment
d'une santé bien trop fragile et oh combien négligée.
Se surpasser encore et toujours, exiger davantage de son corps,
de son esprit, des ses capacités de travail peut nous
amener une énergie que je qualifierais de négative
avec le temps, une sorte de force euphorisante, anesthésiante
mais destructive également et qui conduit inéluctablement
au surmenage qu'il soit intellectuel, physique, psychique ou
bien les trois à la fois. Je pense sincèrement
que grâce en l'occurrence à une meilleure connaissance
de soi et de ses limites, il faut conserver son propre espace
vital, définir des objectifs à court terme afin
de préserver une motivation intacte, sans tomber dans
le piège du surmenage ou de la pseudo perfection et
sans devoir supporter le lourd fardeau d'un enfer au quotidien
que l'on se crée souvent tout seul comme vous le dite
si bien. En conclusion je dirais simplement en toute humilité qu'il
y a des but qui sont hors d'atteinte et "qu'a l'impossible
nul n'est tenu", qu’il faut savoir se préserver,
d'autant plus lorsqu'il en va de sa santé ou bien du
mal que le peut procurer à son entourage proche. Ne
pas se laisser ronger par « le stress », retrouver
une paix intérieure, prendre du recul, acquérir
une certaine sagesse, relativiser, être épicurien
dans l'âme pour ne pas succomber à l'aliénation
ou bien à l'instinct grégaire qu'aimerait bien
nous imposer notre société n'attend pas le nombre
des années, mais demande parfois beaucoup d'effort et
dans certains cas, l'aide de professionnels comme vous.
_________________
cordialement
krka
Inscrit le: 02 Déc 2004
Messages: 3
Posté le: 31 Jan 2005 18:42
Pour destressé une personne surchargé de boulot,
je donnerai ici quelques pistes :
- Apprendre à délégué, ce qui
veut dire notament accepté que ce qui est fait par les
autres n'est pas exactement ce que nous prevoyons à l'origine.
Mais si la direction originel est présevé, on
s'appercevra que les différences n'entravent pas le
projet à long terme.
- prendre un peu de vacances avant l'explosion. Antibes est
une ville très agréable en cette saison
_________________
Krka
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lanthana
Inscrit le: 01 Fév 2005
Messages: 13
Posté le: 01 Fév 2005 10:45
Salut à tous
Cette question est très intéressante car actuellement beaucoup
d’individu subisse les ravages du le stress.
Je pense que pour apaiser ce rongeur de l’âme et du corps, il faut
d’abord se remettre en question et savoir de quoi nous sommes capable
et où sont nos limites (quelque que soit les situations), ensuite il
faut s’accorder des moments de pauses (par exemples même sur son
lieu de travail prendre 5 à 10 minutes et puis essayer de respirer de
l’air pur , ce vider les poumons , penser aux taches que vous avez déjà accomplies
, essayer de penser à des choses positives, en gros essayer de changer
les idées le plus possibles , rire est aussi un bon moyen pour lutter
contre le stress) .
Si vous subissez la pression d’un de vos collègues ou de votre
supérieur dans certain cas remettre les choses en place et dire carrément
ce qui vous dérange peu être bénéfique pour l’un
comme pour l’autre et savoir ou l’on met les pieds et à qui
l’on a affaire est déjà un poids en moins à porter.
Moi, j’ai vécu il y a quelque temps une situation professionnelle
très stressante avec mon patron car il passait ses nerfs sur moi pour
un rien, et chaque que fois que d’autre personnes faisaient mal leur
boulot, je subissais son mécontentement, constamment mon travail était
remis en question. Ce qui m’a amener à douter de moi, de mes capacités,
après j’ai perdu tout envie de me lever pour travailler, perte
d’appétit, je ne dormais plus, j’ai perdu presque 5kg en
moins de 2 mois, bref la total et j’étais à deux doigts
de quitter ce poste. Puis un jour j’ai décidé que cette
situation ne pouvait plus durée j’ai « pris le taureau par
les cornes » et je lui ait demandé pourquoi, il avait ce comportement
avec moi, quelle était mes erreurs professionnelles, et je lui ait dit
que si je n’étais pas capables de faire les taches pour lesquelles
il me payait je partirais de sa société. Et en fait, on discutant
avec lui, je me suis aperçu qui n’avait rien contre moi (ni contre
mes capacités tout au contraire) et que lui-même subissait une
pression énorme et que j’étais la seule personne (qui ne
lui disait rien) et sur laquelle, il pouvait évacuer son stress. Suite à cette
conversation, nos relations se sont améliorées et maintenant
dès qu’il a des problèmes, il vient et on prend 5 minutes
pour en discuter. Même si je n’ai pas les réponses à ses
requêtes, le faite de dire les choses est pour lui un moyen minime soit
il d’évacuer son stress.
Je sais ce n’est pas toujours facile et des situations de stress lié au
travail ne sont pas toutes identiques pour chaque individus, voici quelque
site Internet qui pourront peut être vous aidé :
http://agency.osha.eu.int/news/press_releases/fr/02_07_2002/
http://management.journaldunet.com/dossiers/031113stress/index.shtml
http://www.luttemagazine.com/article.php3?id_article=219
http://www.relaxation-quietude.com/entrep.htm#stress
http://www.maieusthesie.com/nouveautes/article/stress.htm
Et bon courage à tout ceux qui subissent ces situations
or2004
Inscrit le: 30 Nov 2004
Messages: 39
Posté le: 01 Fév 2005 10:54 Sujet
du message:
Bonjour à ton le monde
Merci lanthana pour ces liens
J'en ai vu certain et je vais essayer vos technique a tous pour etre moins
stress au boulot (En fait je crois qu'on premier je vais commencer par un petit
voyage aux "ANTIBES" )
Paul
Inscrit le: 11 Jan 2005
Messages: 544
Localisation: Haute Corse
Posté le: 01 Fév 2005 11:41 Sujet
du message: Les psys...
Bravo pour ces belles analyse et synthèse ainsi que
pour ces liens judicieux !
Il est vrai qu’au regard de la situation française
en matière de maladie mentale, de cancers et autres
suicides, on peut se demander si notre société modélisatrice
n’est pas réellement mortifère... ll faut
savoir s’en protéger.
Pour ce qui est de l’aide des pros, je suis convaincu
que le fait de tenir un journal de bord ou d’écrire
un blog (journal publié sur le web) peut s’avérer
thérapeutique pour la majeure partie des personnes confrontées à une
situation difficile. (Pour plus de détail, voir la rubrique
: techniques de santé...) C’est surtout lorsque
ces techniques ne sont pas suffisantes que l’aide d’un
pro est utile. Et là, il s’agit de choisir : Un
psychiatre, un psychanalyste, un psychothérapeute ou
un psychologue ?
Vous connaissez la différence ?
Tous ont pour objectif d’apporter un soutien et une
aide effective, mais pas de la même façon.
- Un psychiatre, de formation médicale, est habilité à délivrer
des prescriptions médicamenteuses pouvant aller, dans
certains cas jusqu’à une hospitalisation et des électro-chocs
(anodinement appelée cure de sismothérapie...)
Ces traitements brutaux et dégradants sont prescrits
quand toute autre thérapeutique médicamenteuse
est jugée infructueuse.
L’un des problèmes majeurs de notre société française
est que nous sommes le champion du monde de la consommation
d’anxyolitiques, d’antidépresseurs et d’antalgiques.
Il semble que pour satisfaire les appétits féroces
des lobbies pharmaceutiques, les politiques qui y sont liés
cautionnent par leur silence complice cet état de fait
; et les médecins continuent de prescrire... Un brave
médecin a même été jusqu’à prescrire
du prozac “à titre préventif” à une
de ses patientes qui voulait arrêter de fumer !!! Le
pendant de cette situation est la dépendance aux traitements
et leur cortège habituel d’effets secondaires
sur lesquels le ministère de la santé ferme pudiquement
les yeux...
- A l’inverse, un psychanalyste propose la fameuse
catharsis, la cure par la parole inventée par Sigmund
Freud. L’analyse que réalise le patient est une
méthode de connaissance de soi, voie royale, tout comme
le rêve, qui mène à l’inconscient.
Le silence et la neutralité bienveillante du psy permettent
l’émergence du transfert, relation d’amour
et/ou de haine du patient vers le psy. Son analyse renvoie
la personne à ses relations familiales et parentales
qu’elle reproduit avec le psy. Ce travail peut prendre
des années et revêt souvent la forme d’un
parcours quasi initiatique vers l’acceptation de soi.
Coluche (je crois) racontait cette histoire :
Un jour, à l’armée, deux trouffions en viennent aux confidences.
- J’ai vraiment un problème, dit l’un, c’est délicat,
c’est pas facile à dire... Bon voila..., je pisse au lit !
L’autre lui conseille alors un psychanalyste vraiment très bien.
Fin du service, les amis se perdent de vue, la vie continue.
Et un jour, vingt ans après, ils se retrouvent par hasard au coin d’une
rue. Après les effusions d’usage, ils en reviennent aux confidences
:
- Ah dis donc c’est drôle, je viens justement de terminer l’analyse
que tu m’as conseillée. Très bien le psy, mais il m’a
fallu quand même vingt ans pour guérir complètement !
- Dis donc, alors, ça y est, tu ne pisse plus au lit ?
- Si toujours, répond l’autre, mais maintenant je m’en fous,
je sais pourquoi !
Cette histoire, un brin sarcastique, montre que l’analyse
peut être un très long cheminement comme l’a
compris Freud lui-même au travers l’un de ses livres
au titre éloquent ; “Analyse terminée -
Analyse interminable.”
Reste que ce type de démarche n’est pas donné à tout
le monde. Woody Allen, en connaisseur, qui se dit volontiers “accro” à son
psy qu’il rencontre depuis plus de vingt ans a raconté,
estime que pour réussir une analyse, il faut être
: très riche, très patient, très intelligent,
très courageux, très déterminé et
surtout ne pas avoir de problèmes !
cqfd...
- Le psychologue clinicien est en principe spécialisé en
relation d’aide. En réalité, après
cinq années d’études de sciences humaines,
il est sutout utilisé pour faire passer des tests et
confirmer le diagnostic du psychiatre. Il est initié à la
théorie psychanalytique et rarement à d’autres
modèles de psychothérapies. Il y a, là aussi,
un lobby psychanalytique au sein de la majeure partie des universités
françaises qui distille l’idée qu’en
dehors de l’analyse, il n’y a rien de bon, que
les symptômes se déplacent, etc. Pour être
tout-à-fait honnête, je dirais que le psychologue
qui vient de sortir de la faculté, bien qu’ayant
la tête farcie de connaissances ne sait pas vraiment être
thérapeutique. Il lui faut entamer un travail sur lui-même
et se former à la psychothérapie pour pouvoir
commencer à apporter son aide d’une façon
efficace.
- Pour devenir psychothérapeute il faut suivre une,
ou de préférence, plusieurs formations privées.
Certaines ne durent que quelques mois. Les plus sérieuses
durent plusieurs années et sont réservées
aux professionnels (psychologues ou psychiatres). Il existe
des dizaines de modèles de psychothérapies différents
: approche systémique ou éricksonienne, thérapie
cognitivo-comportementale ou relaxation, sophrologie ou hypnothérapie,
PNL ou bio-feedback sont, d’après les recherches
scientifiques, parmi les plus efficaces et les plus rapides.
Mais le statut de psychothérapeute est en discussion.
En effet, pour l’instant, après une formation
privée minimale et aucune étude universitaire,
il est possible de s’installer comme psychothérapeute,
ce qui n’est pas du tout au goût de certains psychologues
et surtout des psychiatres qui voient là une concurrence
déloyale. La réglementation devrait être
prochainement modifiée par nos élus, malgré les
protestations des psychothérapeutes. Affaire à suivre...
Reste que certains psychothérapeutes non universitaires
réalisent parfois un travail remarquable et beaucoup
plus probant que celui de leur collègues dument et légalement
diplômés. L’intelligence du coeur n’est
pas enseignée à l’université alors
que c’est l’un des ingrédients essentiels
de la conduite d’une psychothérapie réussie!
Cordialement
Paul
Philippe
Equipe CORSICAfr Inscrit le: 08 Nov 2003
Messages: 101
Posté le: 01 Fév 2005 16:24
sante a écrit:
2 - S’il n’y a pas de demande explicite, le changement
est difficile à produire. On se heurte souvent à l’absence
de motivation réelle de changement. D’autant que
certaines personnes n’existent que par leurs plaintes,
qui, à un certain niveau, leur donnent paradoxalement
une raison d’être du genre : “Je suis débordé donc
j’ai de l’importance (même si je n’ai
plus de temps pour moi), donc je suis !” Face à ce
mode de fonctionnement paradoxal, certains thérapeutes
préconisent d’utiliser un contre-paradoxe qui
consiste à exacerber le problème pour le rendre
suffisamment insupportable pour susciter un réel et
sincère désir de changement. C’est à partir
de là que le travail de changement peut commencer.
3 - Certaines personnes se créent, souvent inconsciemment, leur propre
enfer. Paul Watzlawick a d’ailleurs consacré un ouvrage sur ce
thème intitulé avec humour : “Faites vous-même votre
malheur !” Les plaintes exprimées par ces personnes ont parfois
pour objectif d’attirer l’attention de leur entourage sur elles.
C’est ce qu’on appele les bénéfices secondaires des
symptômes. L’entourage aura alors la tâche de réconforter,
de rassurer, d’être présent pour apporter son aide. C’est
précisément ce qu’attend la personne manifestant ses difficultés.
Il est particulièrement difficile de modifier ce mode de fonctionnement
car il est souvent ancré au plus profond de la personnalité d’un
individu et hérité de ses parents, de ses grands-parents... Un
désintérêt progressif vis-à-vis des symptômes
au profit de l’individu peut permettre, grâce à une bienveillante
neutralité d’aider la personne à se passer de ces difficultés.
Cordialement
Paul
En réponse à ma question je pense trouver réponse
au travers de ces deux analyses, merci beaucoup. Il ne me reste
plus à présent qu'à m'armer de courage
et de détermination... sans oublier la Patience. Salut
Krka.
_________________
Modérateur
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lanthana
Inscrit le: 01 Fév 2005
Messages: 13
Posté le: 02 Fév 2005 10:27
Bonjour à tous
Dernièrement j’ai trouvé un site Web
qui traitait du stress selon les groupes sanguin de chaque
individu. Ce site disait en gros que les personnes de groupe
sanguin différent réagissaient de manière
dissemblable face à des situations stressantes et que
les méthodes de luttes contre le stress étaient
elles aussi divergentes selon leurs groupes.
J’aimerai savoir si ses données sont exactes
ou si elles sont fondées sur un tissu de mensonge.
Si oui, est ce que de réelles études ont été menées
sur ce sujet ???
Merci d’avance
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Paul
Inscrit le: 11 Jan 2005
Messages: 544
Localisation: Haute Corse
Posté le: 02 Fév 2005 16:27 Sujet
du message: ???
Bonjour,
Pourriez-vous me donner l'adresse de ce site ?
Cordialement
Paul
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lanthana
Inscrit le: 01 Fév 2005
Messages: 13
Posté le: 06 Fév 2005 23:47 Sujet
du message:
Bonjour Paul et tous les autres internautes
J’ai malheureusement de mauvaises nouvelles à vous annoncer, je
n’arrive plus à retrouver ce site en question et c’est bien
dommage.
Voici toutefois (après mainte recherche) quelques sites qui survolent
un peu ce sujet :
http://www.nutranews.org/fra/index.php?articleid=3142
http://www.librairiegemini.com/sante.htm
http://www.abovie.com/
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